Images aléatoires

Jeudi 1 février 4 01 /02 /Fév 14:16
Ce n'était pas mon but, mais cela n'a pas tardé : je viens de recevoir un récit très coquin de la part d'un visiteur de mon blog, et j'en profite pour l'en remercier... il se reconnaîtra sûrement. Je vous le livre tel que je l'ai reçu :

    J'ai bien envie de vous soumettre une historiette perverse, vraie, je tiens à le préciser, que nous avons vécue il y a quelques mois... Maria était partie au village, et, de mon coté j'avais contacté un mec, rencontré sur petites annonces pour lui faire une bonne surprise quand elle rentrera. Mais la première surprise fut pour moi lorsque François débarqua à la maison accompagné d'un ami qui passait ses vacances avec lui et auquel il avait livré le rdv qu'il avait pour la soirée. Gabriel (c'était son prénom) se trouvait là pour simplement regarder et serait reparti si je n'était pas accord. Après une très courte réflexion, j'acceptais qu'il reste, qu'il mate et que Maria décidera de la suite. En buvant un coup au coin du feu, je leur soumettais le scénario que j'avais imaginé pour Maria.....Je leur ai donc demandé de rejoindre leur bagnole, une camionette assez haute avec une large cabine à l'avant et d'attendre...je suis parti chercher Maria sans plus tarder. Elle s'était habillée "pour baiser" comme elle dit, une guêpière noire, des bas noirs, son grand manteau noir en fourrure et des escarpins rouges...une vraie pute…
    En arrivant dans la petite ruelle, je donnais un coup de warning pour prévenir la camionette. Avant de sortir pour exhiber Maria devant les deux hommes,  je l’ai chauffée au maximum… Elle était déjà bien trempée et me demandais ce que nous faisions dans cette ruelle déserte. Sans lui répondre, je lui ai ouvert la portière et l’ai faite descendre en la tenant par les hanches et en la tournant vers le regards des deux hommes invisibles, à l’intérieur de leur véhicule. Toujours sans lui dire le moindre mot je l’ai amenée sur le coté…
    J'ai ouvert la portière haute. François se trouvait face au volant, et Gabriel avait pris place à l'arrière sur une large et profonde banquette. Maria me glissa à l'oreille que ça sentait le fauve et qu'elle aimait ce parfum. Elle a monté les deux marches pour accéder à la cabine avant. On y voyait à peine, mais on distingait quand même les  sexes dressés des deux hommes. Je leur avais demandé de bien se masturber avant notre arrivée, Maria adore voir les hommes nus bander pour elle. J'ai présenté ma femme, en lui précisant que Gabriel était venu uniquement pour la mater, puis me suis assis sur la banquette arrière prés du mateur. Maria était restée à l'avant, debout face à nous. Elle a laissé tomber son long manteau par terre et a commencé à se caresser la chatte.
    Gabriel s'est alors approché et a frotté sa bite sur les collants noirs. Maria l'a saisi avec fermeté et a promené le bout de ses ongles sur le gland qui rougissait à vue d'oeil. Son souffle devenait court et bruyant. Il a plaqué sa bouche sur les lèvres de Maria et lui a mangé la langue pendant un long moment. C'était une vision superbe. Gabriel se branlait de plus en plus fort, il me regardait furtivement en me disant que j'avais une belle femelle. A l'avant, François et Maria étaient dans un autre monde : leur langues n'arrêtaient pas de s'emmêler avec des bruits de succion qui emplissaient tout l'habitacle. Je pouvais voir la peau de ma femme transpirer sous la poussée du plaisir. Gabriel lui a alors demandé de le sucer. Maria a obéi avec docilité, lui a défait les boutons de sa chemise et a mordu avec ardeur ses tétons qui disparaissaient presque sous une couverture de poils noirs. Puis, elle a légèrement léché la hampe de chair rougie avant de prendre complètement en bouche le sexe tendu de son partenaire. Elle lui a pompé la queue pendant que G, à l'arrière se penchait pour ne rien manquer du spectacle.
    Il faut vous dire que dès le moment où elle a une queue entre les lèvres, Maria est une véritable artiste. Après une longue fellation, elle a redressé les jambes de l'homme et a promené sa langue sur les bords et à l'intérieur de son anus. Elle adore sucer le cul des hommes. Mieux que çà, elle le leur bouffe vraiment. Et c'est ce qu'elle était en train de faire à G, sans oublier le délicieux va et vient que sa main opérait sur la verge tendue à se rompre....
    L'homme gémissait sous les caresses diaboliques de ma femme. De temps en temps, elle levait la tête pour me regarder et regarder mon voisin qui était au bord de l'explosion. Son sexe avait très fière allure, pas très long, mais très épais avec un gland démesuré, comme le chapeau d'un champignon. Je demandais alors à Maria si elle voulait que Gabriel passe à l'avant. Elle me répondit par un sourire. Je fis signe à mon voisin de rejoindre le duo.
    Ma femme doigtait profondément le cul de François en promenant le bout de sa langue sur le petit orifice de son gland. Elle a vu arriver le deuxième homme avec une satisfaction qui a éclairé son regard de vicieuse. A peine prés d'elle, Gabriel s'est mis à lui caresser les fesses et à glisser un doigt dans sa raie en la
traitant de belle garce. J'encourageais alors les deux hommes à traiter ma femme comme une pûte, étant moi-même subjugué par cette première expérience de voir ma femme vraiment partouzée par deux hommes en chaleur.
    Ce fut le début d'une heure de folie sexuelle. Maria se donnait complètement, suçant et léchant les deux corps velus comme je ne l'avais jamais vu faire. Ce fut aussi une avalanche de mots obscènes pour ne pas dire orduriers qu’elle accueillait avec bonheur et qui avaient le pouvoir de décupler son désir d'être un objet sexuel, soumise aux fantasmes de ces deux hommes. Ils ne s’en privaient pas d'ailleurs !
    Maria s'était remise debout pour répondre aux ordres qu'on lui donnait, et les jambes bien écartées s'était assise sur le large tableau de bord. Si des gens passaient sur le trottoir, ils se seraient régalés du spectacle de cette femme à moitié nue offerte sans tabous aux regards et aux caresses de deux males. Plus moi, bien sur. Mais je n'étais pas encore intervenu dans les ébats. Je me réservais Maria pour le reste de la nuit...
    Je la regardais se faire baiser avec avidité. Elle est si belle dans ce genre de situation. Je me branlais de plus en vite et Maria m'encourageait en me demandant si j'aimais ce que je voyais. Je lui répondis que je voulais qu'elle soit encore plus salope. Les deux hommes ont accédé à mon désir en la retournant face au pare-brise, la claquant tour à tour, la traitant de grosse truie... et à chaque claque et à chaque mot, Maria en demandait plus, toujours plus. Sa peau était devenue suintante de plaisir et je savais à cette vision qu'elle était proche de l'orgasme. Son corps ondulait sous les caresses brutales que lui procuraient ses deux amants d'une nuit, ses yeux étaient révulsés...
    C'est à ce moment qu'elle a joui une première fois... Un cri lancinant, profond comme un feulement de louve... et plus elle criait, et plus les deux hommes la soumettaient à des pénétrations vaginales et anales, uniquement avec leurs doigts, avec leurs mains, avec leurs poings... Quel moment ! Un chef-d'oeuvre de lubricité et de délires sexuels complètement incontrôlés.
    Les deux inconnus ne l'ont pas lâché une seule seconde et l'ont obligé à se mettre à genoux et à les sucer à tour de rôle. Je peux vous dire qu'elle les a régalés pendant cinq bonnes minutes comme rarement ils ont du l'être. Elle leur a sucé les couilles en les aspirant jusqu'à ce les avaler complètement, leur a léché la queue en écartant de ses ongles le meat de chacun pour y introduire sa langue pointue et dévastatrice. Et pour accélérer leur jouissance, elle a frappé les deux hampes de chairs sur sa bouche et sur ses seins qui dégoulinaient de jus blanchâtre à la pointe de ses tétons. Je ne vous l'avais pas encore dit, mais ma femme jouit par les seins quand elle est au paroxysme de sa perversité.
    Les deux hommes criaient comme des possédés. Maria les a manoeuvré avec sa science des hommes et de la baise jusqu'a ce qu'ils la remplissent de leur sperme, sur son visage et sur sa guêpière noire. Elle les a nettoyés jusqu'à la dernière goutte, les laissant épuisés sur la banquette avant. Elle les a laissé souffler quelques minutes en les caressant et les embrassant sur tout le corps. Elle était épanouie d'avoir honoré ces deux amants que je lui avais choisis pour la nuit. Elle m'a regardé avec amour en promenant sa langue sur ses lèvres toujours humides et a demandé s'ils voulaient bien poursuivre la nuit chez nous à la villa. Ils ont accepté avec joie...


Par Karine Kokine - Publié dans : Contributions
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