Images aléatoires

Blog coquin d'une coquine...

Dimanche 11 février 7 11 /02 /Fév 07:59
            Cet après-midi là, je rangeais des dossiers classés aux archives, dans les sous-sols de l’entreprise où j’étais employée comme stagiaire. L’archiviste, contrairement à l’image de vieil ours renfermé qu’on s’en fait habituellement, était en fait un beau jeune homme d’une trentaine d’années. Je me disais qu’il n’aurait pas fallu qu’il insiste énormément s’il avait voulu s’offrir un bon moment en ma compagnie, mais il s’est juste contenté de m’indiquer de loin l’endroit où l’on rangeait les dossiers comme les miens. Déçue, je m’y suis rendue, tout en élaborant un plan pour l’attirer dans mes filets…

            Alors que j’étais grimpée sur un escabeau pour atteindre les étagères du haut, il arriva, me demandant si j’avais besoin d’aide. Je me dis que mon charme avait finalement opéré, et, ouvrant discrètement mais malicieusement les cuisses afin de lui offrir un point de vue suggestif, je lui demandais de me passer les piles de feuilles. Malheureusement – ou plutôt heureusement pour la suite – l’une des piles m’échappa et retomba sur lui alors qu’il était en train d’en saisir une autre, le faisant tomber sur le sol dur de la cave. Je m’empressai de descendre, voir s’il n’avait rien de grave. Alors que je me penchais sur lui, il me saisit par la taille et m’embrassa avec autorité. Aussitôt, je plaquai mon corps contre le sien, frottant mon pubis contre la bosse qui ne tarda pas à se former dans son pantalon. Je glissai une main vers l’objet, dégrafai la ceinture de son pantalon et sortis un engin de belle taille qui bandait fièrement entre mes doigts.

            Je pressai fermement son corps contre le sol et ce faisant, je remarquai qu'il tenait dans la main un préservatif. Je le lui pris doucement et le roulai lentement du haut en bas de sa superbe bite dure, me penchant sur lui pour prendre ses couilles dans ma bouche tout en déployant le préservatif pouce par pouce. Un fois qu'il fut fermement en place, je pris en main ses testicules et commençai de mordiller le bout de sa bite. Il gémit tandis que je la faisais glisser profondément dans ma bouche, et poussa un cri quand j'enfonçai les derniers centimètres et lui prodiguai une formidable succion ascendante. Son corps moite, luisant, s'agita tandis que je léchais la base exposée de sa bite avec ma langue. Je bougeai, passant mes jambes à califourchon sur son visage, pompant toujours sa pine et câlinant ses couilles.

            J'entendis le bruit d'une déchirure tandis qu'il arrachait l'entrecuisse trempé de mon collant ; et il commença à frotter avec ses doigts, d'arrière en avant, les lèvres humides de mon sexe. Je me contractai et suintai un suc odorant tandis qu'un autre doigt, humide et adroit, massai mon trou du cul, puis le pénétrait, s'enfilant lentement. Je poussai mon bassin contre ses doigts, faisant mouliner mon pubis contre eux, et lâchai un petit cri alors qu'il les tortillait dans mon vagin trempé.

            Il me repoussa et me disposa à quatre pattes, mes cuisses et mon cul offerts vers le haut. Vivement, il tira la ceinture vers le bas et d'un coup sec, tira mes jambes en arrière. Tenant sa queue dans ses mains, il l'avança entre mes jambes et frotta le bout contre mon clitoris humide et gonflé. J'étais secouée de spasmes de plaisir tandis qu'il frottait sa bite raide contre moi, et je poussai un cri aigu quand il en introduisit les premiers centimètres en une poussée lente et habile. Il agita son pénis d'avant en arrière à l'intérieur de mon vagin, et je reculai doucement, absorbant davantage sa queue épaisse à chaque mouvement du bassin.

            Il commença à me baiser lentement par-derrière, me tenant par la taille et, se retirant, s'arrêtant, puis s'enfonçant plus profondément encore. Chaque fois qu'il me pénétrait, mes seins lourds et pleins, rosés et meurtris par les caresses et les mordillements, se balançaient et je sentais mes muscles se resserrer autour de sa bite. Il me semblait que mes tétons éraflaient l'air, et se durcissaient à chaque balancement.

            Quand je bougeais en tandem avec lui, rencontrant ses coups de reins avec mes jambes serrées autour de sa pine, impatiente d'intensifier ma jouissance, il s'arrêtait tout à fait ou ralentissait excessivement. Il me pénétrait si lentement que je pouvais sentir chaque muscle de mon vagin se relâcher autour du gland qui me transperçait, et puis, une fois bien à l'intérieur, il se retirait progressivement, me laissant ruisselante. Il augmentait graduellement ses élans, et moi, désirant la pleine puissance de sa bite qui me bourrait, j'entourai son engin de mes mains et le guidai plus profondément au-dedans, éprouvant son effort contre mes parois vaginales. Puis ses coups de reins s'arrêtèrent, il se pencha et m'embrassa fortement, nos langues se heurtant en une frénésie de chair et de salive, cherchant et sondant frénétiquement. Mon bassin se soulevait, jambes écartées, le suppliant de me pénétrer à nouveau.

            Quand il dit : "Je veux voir ton visage quand tu jouiras", mon cœur manqua un battement. Il me tapota tendrement la joue ; je serrai ses mains dans les miennes, puis les pressai fermement contre le sol tandis que je me tortillais, me contorsionnais, agitant sa bite en moi. Le suc de ma chatte sortait en gouttelettes et se prenait dans ses poils pubiens. Quand je ne pus me retenir plus longtemps de venir, je bougeai sa pine en moi plus vite et plus profondément, sa bite dure, lisse, qui enflammait mon vagin. Il se cabrait, sa queue luisante de ma mouille glissant dedans et dehors, et l'explosion de mon orgasme gagnait en intensité à chaque bourrade. Je sentais son pénis palpiter furieusement dans mon con, et j'avais l'impression que les parois de mon vagin étaient en train d'éclater.

            Nous jouîmes en même temps en un frisson formidable tiraillant nos chairs, haletant de plaisir et d'excitation. Nous écroulâmes sur le sol, étreints dans nos humidités et nos odeurs mêlées...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Mercredi 7 février 3 07 /02 /Fév 18:32
Pas de récit aujourd'hui, juste quelques photos sur lesquelles vous pouvez m'admirer (j'espère) avec des couettes...






Par Karine Kokine - Publié dans : Photos
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Mardi 6 février 2 06 /02 /Fév 14:23
   Marine, c’est une de mes petites amies. Une jolie petite amie… très jolie même. Elle est sensuelle, amoureuse, un peu narcissique, mais elle a bougrement raison d’aimer son corps. Elle l’aime comme on aime ce qui est agréable à regarder, mais elle l’aime également en amoureuse. Si elle se donne souvent du plaisir, si elle fait vibrer son corps sous ses caresses, c’est tout simplement parce qu’elle possède un tempérament, une sensualité, une sexualité hors du commun. A la seule pensée que je suis l’heureuse bénéficiaire de cette petite merveille, je mouille aussitôt. Je suis une femme comblée.
    Bien sûr nous nous sommes fait réciproquement des confidences sur nos années adolescentes en nous racontant nos premiers émois, nos premiers plaisirs solitaires, nos jouissances secrètes et cachées. Son parcours en ce domaine est intéressant et mérite d’être raconté.
    Jeune elle était déjà bien faite, comme j’ai pu le constater sur les photos qu’elle m’a montrées. En maillot ou en bikini au bord de la mer elle était sexy, avec un corps parfaitement fait malgré sa jeunesse. J’étais excitée rien qu’en voyant ses longues jambes aux cuisses charnues, sans excès, quant à sa taille, sa minceur faisait ressortir davantage sa poitrine qui, pour juvénile qu’elle était, avait la splendeur de la plénitude et un maintien qui aurait justifié l’absence de soutien-gorge.
    Elle avait découvert le plaisir solitaire très tôt, mais, excès de pudeur sans doute, elle se caressait à travers sa petite culotte, jamais directement sur sa chair en fusion. C’est arrivé sans qu’elle ait recherché quoi que ce soit, mais se réveillant un matin avec les mains coincées entre ses cuisses repliées, elle se rendit compte que ce contact était agréable, elle remua l’une de ses mains, puis le bout des doigts à l’endroit où se situe l’une des différences entre garçons et filles. Cela lui plut… elle continua et, soudain, sentit un frisson lui parcourir le corps, elle fut comme secouée par un plaisir intense et connut ainsi son premier orgasme. Par la suite elle s’adonna souvent à cette chose dont elle ignorait le nom : masturbation.
    C’est précisément à cette époque-là qu’elle eut une révélation qui lui apporta un plus dans cette recherche du plaisir. Un jour qu’elle revenait de la fac plus tôt que prévu, (en raison de la maladie d’un prof) en arrivant à la maison, elle entendit chantonner à l’étage. Son frère, qui venait de faire du sport, prenait une douche et, de ce fait, n’avait pas entendu Marine entrer et monter à l’étage. Ne s’attendant pas à ce qu’elle revienne de bonne heure il avait laissé la porte ouverte. En passant dans le couloir, elle le vit, nu, car il venait de sortir de la partie douche de la salle d’eau. D’où elle était il ne pouvait la voir le couloir, de plus, n’était pas éclairé, Marine s’était contenté de la lumière venant de la salle d’eau pour monter.
    Elle le vit de profil, il se regardait dans la grande glace murale et elle fut étonnée de ce qu’elle vit car il bandait. C’était la première fois qu’elle voyait un garçon nu, sexe dressé. Elle n’avait dans ses souvenirs que l’image de petits zizis, du temps où l’enfance, ne connaissant pas la pudeur, en était encore à l’innocence. Cette vision fut pour elle comme un coup de fouet qui lui fit monter comme une chaleur dans tout le corps. Mais elle n’était pas au bout de ses surprises. En effet, Romain, son frère, prit tout à coup son sexe à pleine main et commença un va et vient en douceur, pour commencer, puis de plus en plus vite et elle vit tout à coup jaillir des jets blanchâtres tandis que son frère poussait des gémissements avant de se laisser tomber sur le sol, main crispée sur son sexe toujours tendu.
    Profitant de l’extase où se trouvait son frère, Marine, sans bruit, se dirigea vers sa chambre et après avoir refermé et verrouillé la porte elle releva sa robe, vit la tache d’humidité sur le fond de sa culotte, comme quand elle se donnait du plaisir. Une idée folle la saisit, elle s’accroupit devant l’armoire à glace, cuisses ouvertes. Elle vit le blanc humide de sa petite culotte plaquée sur sa vulve dont on devinait le contour. Elle passa ses doigts sur le creux dessiné par le fond de son vêtement intime puis, brusquement, se releva, retira sa petite culotte et s’accroupit à nouveau. Elle resta un moment à regarder cette partie d’elle même entrouverte, dilatée, trempée puis entreprit, pour la première fois, de se masturber en « contact direct ». Ce fut foudroyant, sa jouissance fut d’une telle intensité qu’elle ne se souvenait pas avoir déjà joui de la sorte.
    Elle s’allongea sur la moquette, goûtant le délicieux abandon que l’on ressent après ce genre de plaisir sexuel. Par la suite, ses caresses d’amour furent toujours accompagnées du souvenir de ce sexe d’homme dressé crachant en plusieurs jets au moment de la jouissance de son frère. Ce fut son secret à elle car jamais, au grand jamais, elle n’aurait avoué à Romain qu’elle l’avait surpris en pleine séance masturbatoire.
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Dimanche 4 février 7 04 /02 /Fév 11:34
     Cet après-midi là, j’avais décidé de faire du shopping dans un centre commercial en ville. Je portais une mini-robe à fleurs. Il faisait beau et chaud. Après quelques minutes dans les bouchons du centre-ville, je suis enfin arrivée dans le parking souterrain. J’ai garé ma voiture et rejoint le coeur du centre commercial par un des ascenseurs. Après avoir flâné un peu à regarder les vitrines, je me suis décidée à rentrer dans un magasin de vêtements. Il y avait un peu de monde mais pas trop. J’ai craqué pour une petite robe noire et je me suis rendue dans une cabine d’essayage au fond du magasin.
      Je suis rentrée dans la cabine et j’ai tiré le rideau. Puis je me suis empressée de faire glisser la robe que je portais. Dessous, je n’avais pas mis de soutien-gorge et j’ai pris quelques instants pour admirer ma poitrine dans le miroir en face de moi. En bas, je n’avais qu’un minislip noir en dentelles. Puis j’ai passé la robe que j’avais choisie. Elle ne m’allait pas trop et je l’ai vite enlevée. C’est à ce moment-là que, presque nue, alors que j’étais face au rideau, je me suis aperçue que celui-ci était entrouvert et qu’un homme ne perdait pas une miette du spectacle que je lui offrais. Je suis restée sans bouger un petit moment puis, décidant de le provoquer, je me suis lentement rhabillée en laissant le rideau entrouvert.
      Puis je suis sortie de la cabine en faisant semblant de ne pas le voir. J’ai reposé la robe où je l’avais prise et je me suis approchée d’un bac à vêtements et me suis mise à chercher un article à l’intérieur. C’est alors que j’ai senti une personne me serrer de très près derrière moi. Sans le voir, j’ai tout de suite su que c’était le même homme. J’ai fait semblant de rien mais j’ai senti une main remonter le long de ma cuisse droite et se glisser sous ma robe. Je me suis serrée contre le bac à vêtements, coinçant sa main pour l’empêcher d’aller plus haut. Il s’est arrêté, la main à la lisière de mon slip. A ce moment-là, il a commencé à frotter son ventre contre mes fesses et j’ai senti sa queue durcir contre moi. Je ne sais pas si c’était dû au monde qui nous entourait et qui pouvait nous voir mais je me suis mise à mouiller. Une femme à côté de moi m’a bousculée et lui en a profité pour monter sa main contre mon slip. Il a dû tout de suite sentir que j’étais très excitée. !
      Ne voulant pas jouir ici, j’ai donné un coup de pied dans son tibia. Il a étouffé un cri et s’est écarté. J’en ai profité pour me dégager et quitter le magasin.
      J’étais trop excitée et je me suis dirigée vers les toilettes des femmes. Mais, à peine étais-je rentrée que cet homme m’y suivait. Il n’y avait que nous.
      · Que voulez-vous ?, lui ai-je dit, un peu apeurée.
      · Tu as envie de jouir, d’après ce que j’ai senti. Et moi, j’ai tout ce qu’il te faut, dit-il en mettant sa main sur la bosse que faisait son pantalon.
      · Non, pas ici. On pourrait venir. Et puis, je suis mariée.
      · Alors, raison de plus pour se dépêcher, répondit-il en dégrafant son pantalon. Et je le vis sortir sa queue. Elle était dure et tendue au maximum.
      Il me dit durement : -suce-moi.
      Alors, je me suis agenouillée devant lui et j’ai pris sa bite dans ma bouche. J’ai fait aller ma langue sur cette queue, longue et au gland bien luisant. Il a mis sa main sur ma nuque et m’a obligée à l’avaler en entier. Je me suis alors appliquée à le sucer de mon mieux. A ce moment-là, j’ai entendu la porte des toilettes s’ouvrir et un bruit de pas féminin. Je n’ai pas pu voir qui c’était dans la position où j’étais. J’ai juste entendu un oh de stupéfaction puis, après quelques instants, où la femme devait apprécier le spectacle, des excuses puis la porte s’est refermée.
      L’homme m’a alors arrêtée et m’a relevée. Je me suis retrouvée appuyée contre un lavabo. Il a remonté ma robe sur mon ventre, écarté mon slip et, d’un coup sec, m’a pénétrée. Je n’attendais que çà. Dans l’état d’excitation où j’étais, je voulais sentir une queue me pénétrer. Et, en essayant de ne pas crier trop fort, je me suis mise à jouir. Il en a fait de même après seulement quelques coups de boutoir tellement il devait être excité lui aussi. Puis, il s’est écarté de moi et s’est rajusté.
      · Tu es vraiment une bonne salope. Je resterais bien avec toi plus longtemps mais ma femme doit s’impatienter.
      Puis il est sorti, et je me suis retrouvée seule. Je me suis rhabillée, remaquillée puis j’ai quitté le centre commercial.
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Vendredi 2 février 5 02 /02 /Fév 16:59
    Avez-vous essayé "IMVU" ? C'est un logiciel de messagerie instantannée en 3D dans lequel vous êtes représenté par un avatar entièrement personnalisable... A mi-chemin entre MSN et Les Sims, il présente un seul inconvénient : vous ne pourrez plus vous en passer !... à condition toutefois de réviser votre anglais.
    En ce qui me concerne, depuis que je l'utilise, j'ai fait des rencontres incroyables. Au cours de mes différents chats, j'ai pu aborder avec mes complices du moment des sujets très variés, pour finir la plupart du temps sur le sexe.
    Le gros avantage de IMVU, outre son interface sympathique et votre "Home Page" personnalisable qui vous sera attribuée, c'est de pouvoir à tout moment rencontrer des inconnus du monde entier. Et si, comme moi, vous souhaitez en faire un peu plus, il vous suffira d'acheter pour 15 $ un "Access Pass" qui vous permettra de faire l'amour virtuellement avec votre partenaire...
    J'ai connu ainsi des conversations tellement chaudes, avec des filles comme avec des mecs, que je devais taper mon clavier d'une seule main, l'autre étant monopolisée ailleurs...
   Je vous propose de jeter un oeil sur ces quelques captures d'écran :



















































Et si vous voulez tenter l'aventure, utilisez le lien çi-dessous ou à l'accueil de ce blog pour vous inscrire de ma part. Vous serez ainsi automatiquement ajouté dans la liste de mes contacts... Peut-être à bientôt sur IMVU !
   


IMVU - The World's Greatest 3D Chat
Par Karine Kokine - Publié dans : imvu
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Jeudi 1 février 4 01 /02 /Fév 14:16
Ce n'était pas mon but, mais cela n'a pas tardé : je viens de recevoir un récit très coquin de la part d'un visiteur de mon blog, et j'en profite pour l'en remercier... il se reconnaîtra sûrement. Je vous le livre tel que je l'ai reçu :

    J'ai bien envie de vous soumettre une historiette perverse, vraie, je tiens à le préciser, que nous avons vécue il y a quelques mois... Maria était partie au village, et, de mon coté j'avais contacté un mec, rencontré sur petites annonces pour lui faire une bonne surprise quand elle rentrera. Mais la première surprise fut pour moi lorsque François débarqua à la maison accompagné d'un ami qui passait ses vacances avec lui et auquel il avait livré le rdv qu'il avait pour la soirée. Gabriel (c'était son prénom) se trouvait là pour simplement regarder et serait reparti si je n'était pas accord. Après une très courte réflexion, j'acceptais qu'il reste, qu'il mate et que Maria décidera de la suite. En buvant un coup au coin du feu, je leur soumettais le scénario que j'avais imaginé pour Maria.....Je leur ai donc demandé de rejoindre leur bagnole, une camionette assez haute avec une large cabine à l'avant et d'attendre...je suis parti chercher Maria sans plus tarder. Elle s'était habillée "pour baiser" comme elle dit, une guêpière noire, des bas noirs, son grand manteau noir en fourrure et des escarpins rouges...une vraie pute…
    En arrivant dans la petite ruelle, je donnais un coup de warning pour prévenir la camionette. Avant de sortir pour exhiber Maria devant les deux hommes,  je l’ai chauffée au maximum… Elle était déjà bien trempée et me demandais ce que nous faisions dans cette ruelle déserte. Sans lui répondre, je lui ai ouvert la portière et l’ai faite descendre en la tenant par les hanches et en la tournant vers le regards des deux hommes invisibles, à l’intérieur de leur véhicule. Toujours sans lui dire le moindre mot je l’ai amenée sur le coté…
    J'ai ouvert la portière haute. François se trouvait face au volant, et Gabriel avait pris place à l'arrière sur une large et profonde banquette. Maria me glissa à l'oreille que ça sentait le fauve et qu'elle aimait ce parfum. Elle a monté les deux marches pour accéder à la cabine avant. On y voyait à peine, mais on distingait quand même les  sexes dressés des deux hommes. Je leur avais demandé de bien se masturber avant notre arrivée, Maria adore voir les hommes nus bander pour elle. J'ai présenté ma femme, en lui précisant que Gabriel était venu uniquement pour la mater, puis me suis assis sur la banquette arrière prés du mateur. Maria était restée à l'avant, debout face à nous. Elle a laissé tomber son long manteau par terre et a commencé à se caresser la chatte.
    Gabriel s'est alors approché et a frotté sa bite sur les collants noirs. Maria l'a saisi avec fermeté et a promené le bout de ses ongles sur le gland qui rougissait à vue d'oeil. Son souffle devenait court et bruyant. Il a plaqué sa bouche sur les lèvres de Maria et lui a mangé la langue pendant un long moment. C'était une vision superbe. Gabriel se branlait de plus en plus fort, il me regardait furtivement en me disant que j'avais une belle femelle. A l'avant, François et Maria étaient dans un autre monde : leur langues n'arrêtaient pas de s'emmêler avec des bruits de succion qui emplissaient tout l'habitacle. Je pouvais voir la peau de ma femme transpirer sous la poussée du plaisir. Gabriel lui a alors demandé de le sucer. Maria a obéi avec docilité, lui a défait les boutons de sa chemise et a mordu avec ardeur ses tétons qui disparaissaient presque sous une couverture de poils noirs. Puis, elle a légèrement léché la hampe de chair rougie avant de prendre complètement en bouche le sexe tendu de son partenaire. Elle lui a pompé la queue pendant que G, à l'arrière se penchait pour ne rien manquer du spectacle.
    Il faut vous dire que dès le moment où elle a une queue entre les lèvres, Maria est une véritable artiste. Après une longue fellation, elle a redressé les jambes de l'homme et a promené sa langue sur les bords et à l'intérieur de son anus. Elle adore sucer le cul des hommes. Mieux que çà, elle le leur bouffe vraiment. Et c'est ce qu'elle était en train de faire à G, sans oublier le délicieux va et vient que sa main opérait sur la verge tendue à se rompre....
    L'homme gémissait sous les caresses diaboliques de ma femme. De temps en temps, elle levait la tête pour me regarder et regarder mon voisin qui était au bord de l'explosion. Son sexe avait très fière allure, pas très long, mais très épais avec un gland démesuré, comme le chapeau d'un champignon. Je demandais alors à Maria si elle voulait que Gabriel passe à l'avant. Elle me répondit par un sourire. Je fis signe à mon voisin de rejoindre le duo.
    Ma femme doigtait profondément le cul de François en promenant le bout de sa langue sur le petit orifice de son gland. Elle a vu arriver le deuxième homme avec une satisfaction qui a éclairé son regard de vicieuse. A peine prés d'elle, Gabriel s'est mis à lui caresser les fesses et à glisser un doigt dans sa raie en la
traitant de belle garce. J'encourageais alors les deux hommes à traiter ma femme comme une pûte, étant moi-même subjugué par cette première expérience de voir ma femme vraiment partouzée par deux hommes en chaleur.
    Ce fut le début d'une heure de folie sexuelle. Maria se donnait complètement, suçant et léchant les deux corps velus comme je ne l'avais jamais vu faire. Ce fut aussi une avalanche de mots obscènes pour ne pas dire orduriers qu’elle accueillait avec bonheur et qui avaient le pouvoir de décupler son désir d'être un objet sexuel, soumise aux fantasmes de ces deux hommes. Ils ne s’en privaient pas d'ailleurs !
    Maria s'était remise debout pour répondre aux ordres qu'on lui donnait, et les jambes bien écartées s'était assise sur le large tableau de bord. Si des gens passaient sur le trottoir, ils se seraient régalés du spectacle de cette femme à moitié nue offerte sans tabous aux regards et aux caresses de deux males. Plus moi, bien sur. Mais je n'étais pas encore intervenu dans les ébats. Je me réservais Maria pour le reste de la nuit...
    Je la regardais se faire baiser avec avidité. Elle est si belle dans ce genre de situation. Je me branlais de plus en vite et Maria m'encourageait en me demandant si j'aimais ce que je voyais. Je lui répondis que je voulais qu'elle soit encore plus salope. Les deux hommes ont accédé à mon désir en la retournant face au pare-brise, la claquant tour à tour, la traitant de grosse truie... et à chaque claque et à chaque mot, Maria en demandait plus, toujours plus. Sa peau était devenue suintante de plaisir et je savais à cette vision qu'elle était proche de l'orgasme. Son corps ondulait sous les caresses brutales que lui procuraient ses deux amants d'une nuit, ses yeux étaient révulsés...
    C'est à ce moment qu'elle a joui une première fois... Un cri lancinant, profond comme un feulement de louve... et plus elle criait, et plus les deux hommes la soumettaient à des pénétrations vaginales et anales, uniquement avec leurs doigts, avec leurs mains, avec leurs poings... Quel moment ! Un chef-d'oeuvre de lubricité et de délires sexuels complètement incontrôlés.
    Les deux inconnus ne l'ont pas lâché une seule seconde et l'ont obligé à se mettre à genoux et à les sucer à tour de rôle. Je peux vous dire qu'elle les a régalés pendant cinq bonnes minutes comme rarement ils ont du l'être. Elle leur a sucé les couilles en les aspirant jusqu'à ce les avaler complètement, leur a léché la queue en écartant de ses ongles le meat de chacun pour y introduire sa langue pointue et dévastatrice. Et pour accélérer leur jouissance, elle a frappé les deux hampes de chairs sur sa bouche et sur ses seins qui dégoulinaient de jus blanchâtre à la pointe de ses tétons. Je ne vous l'avais pas encore dit, mais ma femme jouit par les seins quand elle est au paroxysme de sa perversité.
    Les deux hommes criaient comme des possédés. Maria les a manoeuvré avec sa science des hommes et de la baise jusqu'a ce qu'ils la remplissent de leur sperme, sur son visage et sur sa guêpière noire. Elle les a nettoyés jusqu'à la dernière goutte, les laissant épuisés sur la banquette avant. Elle les a laissé souffler quelques minutes en les caressant et les embrassant sur tout le corps. Elle était épanouie d'avoir honoré ces deux amants que je lui avais choisis pour la nuit. Elle m'a regardé avec amour en promenant sa langue sur ses lèvres toujours humides et a demandé s'ils voulaient bien poursuivre la nuit chez nous à la villa. Ils ont accepté avec joie...


Par Karine Kokine - Publié dans : Contributions
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Mercredi 31 janvier 3 31 /01 /Jan 17:51
    Mon fils a 13 ans et travaille très fort à l'école. J'ai rencontré François, son prof de maths, le mois dernier. Il m'a dit être très impressioné par ses resultats scolaires, de loin supérieurs à ceux de ses camarades de classe. Il m'a assuré que mon fils avait un brillant avenir devant lui, à condition de lui fournir des attentions particulières. Comme je ne peux pas, même à l'aide d'une bourse d'excellence, me permettre de l'envoyer dans une institution privée, il m'a offert de lui donner des cours privés à domicile. J'ai hésité un peu avant d'accepter cette proposition, mais il a insisté très fort, me disant que ça lui ferait un grand plaisir d'aider Daniel dans sa réussite, au point où je n'ai pu refuser son offre. Voilà comment mon histoire a commencée.
    Le premier après-midi, j'étais seule. Je suis divorcée et je travaille à partir de ma maison. Mon fils venait d'arriver de l'école et il est allée dans sa chambre pour étudier. Cette journée en particulièr, j'avais passé une partie de la matinée à fouiner dans l'internet, dans les sites et forums pour adultes. J'avais eu aussi des conversations très chaudes et osées avec d'autres internautes. Je me suis même branlé le minou avec un gars qui savait parler aux femmes. Cet homme charmant m'avait fait mouiller comme une minette en chaleur. Il savait comment s'y prendre. Il m'avait fait passer près de l'orgasme plus d'une fois en me disant toutes sortes de cochonneries; hélas, je n'ai pas réussi à jouir avant que mon fils n'arrive en claquant la porte comme c'est son habitude. Merde! j'ai du me déconnecter en toute vitesse pour que mon fils ne me retrouve dans une position compromettante devant l'ordi. Inutile de dire qu'après toutes ces stimulations, j'avais une immense envie de baiser. Comme je n'avais pas d'homme pour me satisfaire, je me suis glissée sous la douche, pour essayer de calmer mes ardeurs.
    Dans la douche, c'est le contraire qui s'est produit. J'étais h-y-p-e-r-e-x-c-i-t-é-e !. Les images de baise n'arrêtaient pas de defiler dans ma tête. J'avais la peau d'une sensibilité extrème. Chaque goute du puissant jet d'eau était comme une caresse. J'ai orienté le jet sur mes seins, qui faisaient presque mal tellement ils étaient durs. Je n'ai pas pu retenir un gemissement lorsque j'ai placé le jet directement sur mon clito et les lèvres de ma chatte. Juste au moment où j'allais jouir, je me suis tournée et j'ai visé le jet d'eau sur mon petit cul, en continuant ma branlette avec mes doigts. J'ai plongé ma main presqu'au complet dans mon vagin, j'ai serré mes jambes très fort, j'ai laissé le jet d'eau faire son travail sur mon oeillet rosé et je me suis laissée aller par toutes ces sensations. Mon orgasme a été tellement puissant que j'ai failli perdre pied et me retrouver au fond de la baignoire, toute épuissée.
    Je suis sortie de la douche enroulée en une serviette comme je fais toujours. J'avais completement oublié la visite de François. Il était arrivé pendant que j'étais dans la douche pour donner ses premiers cours privés à Daniel et il était maintenant assis dans la salle à manger. J'étais un peu gênée par sa présence. Je l'ai salué en vitesse et je me suis engouffrée dans ma chambre. J'étais terriblement embarrassée, comme si ce bel homme avait pu deviner dans mon visage ce que j'étais en train de faire sous la douche. Il avait un sourire très coquin en tout cas! Peut-être ce qu'il a vu lui plaisait? Quand j'avais le dos tourné en marchant vers ma chambre, j'ai cru sentir ses yeux rivés sur mes jambes nues et le debut de mes fesses, à peine voilées par la serviette de bain. Pour la première fois, j'ai vu cet homme sous un autre oeil. Il était dans la trentaine, comme moi, et il faisait un metre quatre-vingt-dix aisément. Le dos carré et des épaules très larges; ses cheveux noirs tombaient en longues boucles, sans cacher un cou viril. Son visage n'était pas celui d'un homme beau, mais il avait une attirance certaine. Comment se fait-il que je ne l'avais pas encore remarqué?
    J'étais en train de penser à lui en m'habillant et je me suis rendue compte que j'avais envie de lui. Je me suis dit que surement il faisait mouiller toutes ses élèves et même certaines profs de son école. Je me suis rappellé de l'époque de mes 15 ans, quand j'étais amoureuse folle de mon prof de français. Je me demandais si François serait intéressé en moi, avec toutes ces femmes en chaleur autour de lui. Je me demandais si son sexe était grand ou petit, s'il ferait un bon amant, quel était le goût de son sperme et s'il aimaitrait me sodomiser. Bien que je venais de jouir sous la douche, je me suis sentie devenir toute moite entre les jambes. J'ai mis une jupe très courte, un mini slip qui cachait à peine mon sexe, une vieille chemise de mon ex, sans soutien-gorge, et j'ai quité ma chambre nu-pieds.
    Je me suis installée dans le salon et j'ai feint la lecture. Je l'écoutais parler de racines carrées et de théorèmes en le regardant discretement. Plus je le dévisageais, plus je souhaitais l'avoir dans mon lit, là, tout de suite. La leçon a duré encore une heure, il a dit a mon fils qu'ils avaient bien travaillé et qu'il serait de retour dans deux jours. Mon fils s'est alors adressé à moi et m'a demandé s'il pouvait aller voir sa petite amie qui habite dans la même rue que nous. J'ai accepté à condition qu'il ne revienne pas trop tard et j'ai saisi l'opportunité pour offrir un café à François. À mon plus grand plaisir, il a accepté de bon coeur et dix minutes après on était assis l'un devant l'autre dans le salon.
    Notre conversation avait mon fils comme sujet tout d'abord. Nous avons parlé de ses aptitudes pour les sciences et quoi encore. Je l'écoutais attentivement, comme envoûtée par ses paroles. Après un bon moment notre conversation est devenue plus personnelle. Il m'a parlé de sa vie de celibataire et moi de mon divorce. Inévitablement, le thème des relations, ou plutôt de l'absence de relations dans mon cas, est apparu. Il m'a dit qu'une femme aussi attirante que moi ne devait pas manquer d'opportunités. J'étais très flattée qu'il me trouve attirante, mais je lui ai dit que depuis ma séparation je n'avais pas été en compagnie d'un homme en chair en en os; avec mon fils et mes occupations, cela était devenu très difficile. Un peu honteuse, je lui ai avoué passer beaucoup de temps devant l'écran d'ordi et avoir plus de rélations virtuelles que réelles. Il a senti ma gêne, mais ses yeux sont devenus pétillants. Il m'a dit que je n'avais pas de raison de me sentir mal-à-l'aise et que, en troute franchise, il aimait aussi le sexe virtuel et que des fois il avait du mal à s'en passer, se connectant même à partir l'école des fois. Plus confiants maintenant, nous avons commencé à parler de nos expériences sur le net. Au point où nous avons parlé ouvertement de nos meilleurs moments, je lui ai raconté l'expérience que je venais d'avoir la journée même. Du coup, il m'a regardée tout drôle, comme s'il venait de réaliser quelque chose. Il m'a demandé quel était mon alias sur le net, et boum! le chat était sorti du sac! "C'est toi Cowgirl?" Il s'est exclamé. "Oui, tu me diras pas qu'on s'est déjà parlés?". La réponse est venue et m'a fait renverser: "Oui, pas plus tard qu'aujourd'hui. C'est moi Funguy!" Quoi! je ne croyais pas cela possible! Pourtant c'était bien vrai. C'était lui! J'avais devant moi le même homme qui m'avait si bien excité plus tôt dans la journée.
    Je me suis approchée de lui lentement, langoureusement. Sans réfléchir, je l'ai embrassé à pleine bouche. On n'avait plus besoin de parler. Ses mains sont venues se poser sur mes jolies petites fesses et il s'est mis à les caresser doucement. J'avais ma cuisse entre ses jambes et j'ai senti que je commençais à lui faire de l'effet. Une jolie bosse se formait déjà sous son pantalon. Je voulais sentir son doigt sur mon clito enflammé, ses mains sur mes seins et sur mes fesses; mais surtout, sa queue raide en moi, implantée au plus profond de mon con.
    Ses lèvres se promenaient sur mes joues, dans mon cou et sur mes oreilles. Il s'est mis à les mordiller, j'étais exhaltée. De ma main, j'ai cherché sa braguette, son membre était tout rigide. Je l'ai sorti de ses pantalons et je l'ai masturbé doucement. J'ai dirigé une de ses mains sur ma chatte. Je voulais sentir son doigt dans mon sexe mielleux.
    Il a fait pénétrer tout doucement un doigt dans ma fente mouillée et, avec son pouce, il pressait mon clito avec une infinie tendresse tout en le faisant tourner lentement. Nous nous sommes pelotés comme ça pendant de longues minutes. Il ne semblait pas pressé de me baiser. C'est même moi qui lui ai dit: " Prends-moi maintenant, tout de suite, sinon je vais éclater." Il s'est placé face à moi, debout. Ma jupe soulévée, j'ai mis de côté mon slip et, en écartant ma fente, j' y ai fait entrer son membre chaud. Ç'a été une véritable délectation. Ses mains se sont posées sur mes hanches et il s'est mis à bouger lentement, puis plus vite. À mon tour, je le chevauchais en suivant son rythme. Le plaisir m'envahissait de plus en plus. Je donnais des coups de hanches vers les côtés aussi. Je remouais ma croupe comme une goelette en mer. Il râlait doucement. Nos poils se rejoignaient et je le sentais bien au fond de moi. Sa bite était simplement délicieuse. Elle était assez grosse pour que son noeud cogne très fort au fond de moi et elle était d'une dureté exceptionnelle.
    Je me sentais en possession de sa queue. Il me pompait vigoureusement. La force de mon orgasme m'a surprise. J'ai gémi de bonheur et mon vagin a expédié une quantité abondante de jus. Tout mon corps était comme frappé par la foudre et les contractions involontaires de mon con l'ont poussé vers la jouissance. Il a joui à son tour en pousant un long soupir. Lorsqu'il a sorti sa queue de ma chatte, elle a fait un bruit de suction comme si elle ne voulait pas le laisser partir, et un torrent de liquide à l'odeur sucrée a coulé entre mes jambes.
    Daniel ne serait pas de retour avant une bonne heure. Je ne voulais pas arrêter là. Le sexe de François avait gardé une partie de son panache. Je me suis penchée pour lui donner un petit bec, puis un autre, et encore un autre. J'ai chatouillé son gland avec ma langue. Je frottais son gland sur ma langue lorsque je l'ai saisi d'une main et commencé un pompage endiablé. Ma bouche montait et descendait sur son membre. Il aimait bien ça quand je frottais son gland sur mes joues avant de le dévorer à nouveau. Il ne détestait pas ça non plus un truc que mon ex m'avait montré: j'enfonçais toute la longueur de sa queue dans ma bouche et j'enroulais ma langue autour de son membre. Quand je l'ai senti sur le bord de jouir, j'ai arrêté brusquement. Je lui ai dit en souriant malicieusement : " Non, non! Pas tout de suite!
    Je lui ai tourné le dos et j'ai lui fait signe de me caresser les mamelons. Tranquilement, j'ai passé le gland de son sexe bandé autour de ma chatte, ramassant sa mouille, puis je l'ai pointé sur mon cul. Il a compris tout de suite où je voulais en venir. Il m'a prise très doucement en faisant pénétrer son membre un centimetre à la fois. Mon cul s'est ouvert sans douleur grâce aux petits coups de reins qu'il donnait. Quand mes fesses se sont finalement posés sur ses jambes j'ai compris que je l'avait pris tout en moi. Nous sommes restés soudés comme ça pensant un bon moment puis il a commencé ses mouvements d'enculage.
    Il me soulevait et me redescendait en me tenant avec mains sur mes fesses. Je l'aidais en pliant les genous. Je donnais des coups de bassin pour bouger sur son pieu. Je le sentais au plus profond de moi. Il s'est mis à me triturer les seins. Ses doigts pinçaient mes mamelons et j'étais au ciel avec ses caresses pridigieuses. Même si je pensais cela impossible, j'ai senti sa queue prendre de l'ampleur. J'avais l'impression que son mât allait me défoncer les entrailles tellement je le sentais gros en moi. Rien au monde n'aurait pu me faire arrêter.
    Sans sortir de moi, il m'a fait mettre à quatre pattes sur la moquette et il m'a pénétrée par-derrière. Sa vigueur était impressionnante. J'ai écarté les fesses du mieux que je pouvais et je lui ai tendu mon cul pour mieux le recevoir. Ses mains ont malaxé encore mes seins. Je me suis éffondrée sur le plancher quand mon orgasme m'a atteint, mais il m'a saisi par les hanches et il a continué à me ramoner le cul solidement. Chaque coup de boutoir me procurait une délicieuse jouissance, chaque pénetration était un petit orgasme. Je me suis mise à crier de plaisir. Je ne savais pas combien de temps cela pouvait encore durer, jamais ma jouissance n'avait été si longue. Il a finalement grogné et j'ai senti son sperme gicler à l'intérieur de mon cul torturé. Cet arrossage copieux de foutre m'a procuré mon ultime jouissance. J'ai crié encore plus fort et j'ai senti mes dernières forces me quiter.
    Nous avons mis un moment pour reprendre notre souffle et ensuite nous avons nettoyé les traces de nos amours, sans parler un seul mot pendant ce temps. Quand Daniel est arrivé François était déjà parti. Il m'a téléphoné plus tard pour me dire que cette expérience avait été pour lui une des plus mémorables et qu'il souhaitait beaucoup d'autres, tant que j'en voudrais. Je suis allée me coucher cette nuit-là une femme comblée.
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Mardi 30 janvier 2 30 /01 /Jan 11:34
     Nous étions en vacances aux Antilles. Ce matin-là, dans le grand lit de notre chambre d'hôtel, nous attendions notre petit-déjeuner et, pour patienter, je caressais le sexe de mon amant. Il bandait dur et sa queue vibrait dans ma main. N'y tenant plus, je plongeais sous les draps pour la prendre en bouche. Je le suçais amoureusement quand on frappa à la porte de la chambre. Je sortis rapidement de sous les draps.
      - C'est le petit déjeuner !
      - Entrez !
      Une jeune métisse fit son apparition. Elle était splendide avec sa petite robe noire et son tablier blanc.
      - Où dois-je poser le plateau, s'il vous plaît ?
      - Ici, répondit Christophe en désignant une tablette devant la fenêtre.
      Sans aucune gêne, il obligeait ainsi la jeune fille à contourner le lit. Elle posa le plateau et demanda si nous désirions autre chose. Son regard se posa discrètement sur la bosse que formait sous les draps la bite de Christophe. Je posais alors mes doigts autour de l'excroissance pour mieux la mettre en évidence.
      - Tu veux la voir ? Tu veux voir la queue de monsieur ?
      Elle rougit et bredouilla :
      - Madame, je ne sais pas... Je...
      Je baissais les draps et exhibais fièrement la tige de chair dans ma main.
      - Approche. Comment t'appelles-tu ?
      - So... Sonia, Madame...
      - Viens Sonia. N'aies pas peur. Tiens, prends-là, je te l'offre.
      Timidement, elle s'avança au bord du lit. Je la fis s'asseoir et pris sa main pour la poser sur la queue dressée. Rapidement, elle prit confiance et commença une lente masturbation qui comblait de plaisir mon compagnon. Je caressais les jambes gainées de Nylon blanc de la fille en la regardant faire. Cela ne sembla pas la déranger, au contraire. Ses cuisses s'écartaient légèrement comme pour m'inviter à une caresse plus précise, tandis que ses yeux noirs étaient fixés sur le bâton de Christophe. Elle le branlait lentement, faisant jaillir le gland gonflé entre ses doigts.
      - Suce-le, lui dis-je, très excitée par le spectacle. Il adore qu'on lui suce la queue.
      Elle ne se fit pas prier et plongea sur la tige raidie, basculant du même coup en travers du lit. Elle goba le gland bleuté tandis que je plongeais entre ses cuisses, remontant très haut la robe, découvrant un sexe nu encadré par un porte-jarretelles du même blanc que ses bas. Ses lèvres roses ressortaient sur la peau mate. Je me mis à lécher ce sexe offert tandis que Christophe gémissait sous la fellation qu'elle lui prodiguait. Je pompais son clitoris en enfonçant deux doigts dans sa chatte trempée. Sonia jouit rapidement, et Christophe sortit sa queue de sa bouche pour lui ordonner de se déshabiller entièrement. Une fois la fille nue, il la fît s'installer à quatre patte sur le lit, me faisant signe de m'installer devant elle. J'écartais au maximum les cuisses tout en écartant les lèvres de mon sexe et lui pria de me rendre les caresses que je lui avais données. Elle se mit donc à me lécher à son tour. Sa langue fouillait mon sexe humide et elle branlait habilement mon bouton avec son nez. Soudain, elle se cabra : Christophe s'était placé derrière elle et l'avait pénétrée brutalement. Il la pilonnait en grognant de plaisir. Je lui saisis le visage que j'enfouis entre mes cuisses et elle reprit son ouvrage. Sa langue semblait être partout à la fois, tantôt sur mes lèvres gonflées de désir, tantôt au fond de mon sexe. Enfin, elle jouit une seconde fois sous les coups de bite de mon amant, tandis que je jouissais également. Christophe présenta alors sa queue luisante devant nos visage et, secouant vigoureusement la hampe, éjacula sur nous. Les jets de sperme, d'un blanc laiteux sur le visage bronzé de la fille ressortaient admirablement et je la léchais avant de plonger ma langue dans sa bouche. Nos langues se mêlaient dans un bain de foutre.
      Après s'être rajustée, elle quitta la chambre sans un mot, peut-être gênée de s'être ainsi donnée à nous. Nous prîmes notre petit déjeuner froid. Plus tard, nous l'avons revue et nous avons plusieurs fois remis ça. Elle a même pleuré quand nous avons quitté l'hôtel. Mais au fond, je lui faisais confiance pour trouver un autre couple complaisant...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Lundi 29 janvier 1 29 /01 /Jan 09:09
    After studies to become saleswoman, I succeeded in unearthing me a place in charming a small shop of clothing. I was in a city close of at home and the store very well was located and directed by very charming a ten years injury my elder.
    The training course was to be stretched over three weeks at the beginning of summer. I had a duty to be specific and very pleasant with the customers and customer. My owner made very to put to me at ease and to facilitate my training course, I was packed. first week was devoted to discovered practices of the house.
    After one week with being with the listening of Julie (the first name of my owner), I was much more at ease with the tasks which I was to carry out and with the customers of the store.
    Wednesday of the second week was special for me. When I had spare time, I walked in the store and looked at clothing for me. I had seen a beautiful skintight black skirt which I liked much and emphasized the contour of my legs. With a blouse with short sleeves, I was very attracting. Julie noticed my desire to have this clothing, still looking at me taking them and checking the sizes.
    - You like this clothing, Karine?
    - Yes, I find them very sexy! My friend should like them much!
    - You want to test them?
    - With pleasure!
    But of the customers entered and I have to give my meeting of fitting to later. To the end of the day, Julie came to see me with in her hands clothing which I coveted.
    - Hold, take time to make the fitting while I close the shop.
    I moved towards the room of fitting and slowly undressed me to slip on the skirt and the blouse. I looked myself in the mirror when I heard a voice which said to me:
    - You can leave, that I see me also the effect of this clothing on you!
    I opened the door and left in front of Julie. She looked at me feet with the head... The insistence of her glance made me redden, mixture of embarrassment and confused excitation. Julie approached and made me turn in front of her by making adjustments on clothing, she touched me slightly and tenderly saying to me:
    - It suits you very well, you are very attracting in this behaviour.
    - Thank you, you are nice.
    And Julie rubbed my body while placing clothing... I was disturbed by these contacts.
    - You believe that my friend will be excited?
    - Not only your friend... -...?
    - Karine, you are very pretty. Your body is so beautiful... You know that I like you much?
    And, by joining epics to the word, she approaches me and poses a kiss on my cheek. Indicator that I did not move, she poses her lips on mine by tightening me against it. A soft feeling invades me and I let myself better do..., I let myself go to answer his kisses.
    - Have You already made love with a woman, Karine?
    - to tell the truth, I sometimes wanted of it, but I never did it, not...
    - Lets itself guide, then. You will see, I am sure that you will like...
    Without more preamble, our hands start to cherish the body of the other while our tongues mix in our mouths. After a few moments, Julie starts to detach my skirt which goes down along my legs to the ground, then goes up towards my centres which her cherishes, tenderly at the beginning, then more firmly. I close the eyes while sighing of ease. she detaches my blouse and soon I find myself out of underclothing in front of it. After some caresses, she asks me to undress her too. I am carried out slowly. Very sensuellement, I discover the shapes of Julie who appreciates my caresses. Her centres are large and firm. I gently cherish them by weighing up them, while rubbing my pubis against his muscular thigh... Quickly, we find ourselves naked all both, Julie place her hands on my hips and descend her lips on my bust, embracing my centres and licking my nipples. What a softness! I feel his hand which slips on my thighs, between my legs that I half-open, giving up me with her caresses. She touches finally my sex on fire... I groaned!!!!
    She went down between my legs, cherishing me divinement and penetrating me with a nosy finger, then two, making them go in me like a penis. She then extends me on the carpet of the store and is placed between my drawn aside legs, holding me by the thighs. She places her head against my pussy and starts to lick me the sex, the wet lips, titillating my clitoris with the point of her tongue. Then she hides her toungue in me, excavation in my soaked vagina. I feel it to be twisted in me. At the edge of the orgasm, I push his head of my hands to further smell it in me... - You are good, tells me Julie, delicious. Karine, I like your sex, still lets taste your juice to me...
    It cherishes my buttocks of her hands, rubbing my anus of her index. I am with the roof of happiness. My owner makes me enjoy with more at the point... Shaken by a wave of pleasure, I cries my happiness!
    - Yeeeeeeeeeeessss!!! I'm coming !!! Oh, that's good! Goooooood!!!
    Julie taste my hot juice, she drinks me literally, licking like a cat between my soaked lips. I had just known happiness lesbian for the first time. I wanted me also to make her enjoy, and I the occasion had some later: during the remainder of my training course, she invited me to remain at it, and we often made love, each time we return of the store. I thus could improve me in art to give and receive pleasure between women. We used sometimes all kinds of adapted gadgets, dildos, the belts which enabled me "fuck her" as if I had been a man...
Par Karine Kokine - Publié dans : English versions
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Samedi 27 janvier 6 27 /01 /Jan 17:20
      Après des études pour devenir vendeuse, j'ai réussi à me dénicher une place dans une charmante petite boutique de vêtements. J'étais dans une ville près de chez moi et le magasin était très bien situé et dirigé par une très charmante dame de dix ans mon aînée.

      Le stage devait s'étirer sur trois semaines en début d'été. Je me faisais un devoir d'être ponctuelle et très aimable avec les clients et clientes. Ma patronne faisait tout pour me mettre à l'aise et faciliter mon stage, j'étais emballée. La première semaine fut consacrée à la découverte des habitudes de la maison. Après une semaine à être à l'écoute de Julie (le prénom de ma patronne), j'étais beaucoup plus à l'aise avec les tâches que je devais effectuer et avec la clientèle du magasin.

      Le mercredi de la deuxième semaine fut spécial pour moi. Lorsque j'avais du temps libre, je me promenais dans le magasin et regardais les vêtements pour moi. J'avais vu une belle jupe noire moulante qui me plaisait beaucoup et faisait ressortir le galbe de mes jambes. Avec une blouse à manches courtes, je me trouvais très attirante. Julie a remarqué mon désir de posséder ces vêtements, me regardant encore les prendre et vérifier les tailles.
- Tu aimes ces vêtements, Karine ?
- Oui, je les trouve très sexy ! Ils devraient beaucoup plaire à mon ami !
- Tu veux les essayer ?
- Avec plaisir !

      Mais des clients sont entrés et j'ai du remettre ma séance d'essayage à plus tard. A la fin de la journée Julie est venu me voir avec dans ses mains les vêtements que je convoitais.
- Tiens, prends le temps de faire l'essayage pendant que je ferme la boutique.

      Je me dirigeai vers la salle d'essayage et lentement me dévêtit pour enfiler la jupe et la blouse. Je me regardais dans le miroir quand j'entendis une voix qui me disait :
- Tu peux sortir, que je vois moi aussi l'effet de ces vêtements sur toi !

      J'ouvris la porte et sortis devant Julie. Elle me regardait des pieds à la tête... L'insistance de son regard me fit rougir, mélange de gêne et de confuse excitation.

      Julie s'approcha et me fit tourner devant elle en faisant des ajustements sur les vêtements, elle me touchait légèrement et tendrement me disant :
- Ca te va très bien, tu es très attirante dans cette tenue.
- Merci, tu es gentille.

      Et Julie de frotter mon corps en plaçant les vêtements... J'étais troublée par ces contacts.
- Tu crois que mon ami va être excité ?
- Pas seulement ton ami ...
- ... ?
- Karine, tu es très jolie. Ton corps est si beau... Tu sais que tu me plais beaucoup ?

      Et, en joignant le geste à la parole, elle s'approche de moi et pose un baiser sur ma joue. Voyant que je ne bougeais pas, elle pose ses lèvres sur les miennes en me serrant contre elle. Une douce sensation m'envahit et je me laisse faire... mieux, je me laisse aller à répondre à ses baisers.
- Tu as déjà fait l'amour avec une femme, Karine ?
- A vrai dire, j'en ai parfois eu envie, mais je ne l'ai jamais fait, non...
- Laisse-toi guider, alors.. Tu verras, je suis sûre que tu va aimer...

        Sans plus de préambule, nos mains se mettent à caresser le corps de l'autre pendant que nos langues se mêlent dans nos bouches. Après quelques instants, Julie commence à détacher ma jupe qui descend le long de mes jambes jusqu'au sol, puis remonte vers mes seins qu'elle caresse, tendrement au début, puis plus fermement. Je ferme les yeux en soupirant d'aise. Elle détache ma blouse et bientôt je me retrouve en sous-vêtements devant elle. Après quelques caresses, elle me demande de la dévêtir elle aussi. Je m'exécute lentement. Très sensuellement, je découvre les formes de Julie qui apprécie mes caresses. Ses seins sont gros et fermes. Je les caresse doucement en les soupesant, tout en frottant mon pubis contre sa cuisse musclée... Rapidement, nous nous retrouvons nues toutes les deux, Julie place ses mains sur mes hanches et descend ses lèvres sur mon buste, embrassant mes seins et tétant mes mamelons. Quelle douceur ! Je sens sa main qui glisse sur mes cuisses, entre mes jambes que j'entrouvre, m'abandonnant à ses caresses. Elle touche enfin mon sexe en feu... je gémis !!!!

      Elle fouille entre mes jambes, me caressant divinement et me pénétrant avec un doigt fouineur, puis deux, les faisant aller en moi comme un pénis. Elle m'étend ensuite sur le tapis du magasin et se place entre mes jambes écartées, me tenant par les cuisses. Elle place sa tête contre ma chatte et commence me lécher le sexe, les lèvres humides, titillant mon clitoris avec la pointe de sa langue. Puis elle enfouit sa langue en moi, fouille dans mon vagin trempé. Je la sens se tortiller en moi. Au bord de l'orgasme, je pousse sa tête de mes mains pour la sentir plus loin en moi...
- Tu es bonne, me dit Julie, délicieuse. Karine, j'aime ton sexe, laisse-moi encore goûter ton jus...

      Elle caresse mes fesses de ses mains, frottant mon anus de son index. Je suis au comble du bonheur. Ma patronne me fait jouir au plus au point... Secouée par une vague de plaisir, je cris mon bonheur !
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiii !!! Je jouiiiis!!! Oh, que c'est bon ! C'est bon !!!

      Julie se délecte de mon jus chaud, elle me boit littéralement, lapant comme une chatte entre mes lèvres trempées. Je venais de connaître le bonheur lesbien pour la première fois. Je voulais moi aussi la faire jouir, et j'en eût l'occasion plus tard : pendant le reste de mon stage, elle m'a invité à demeurer chez elle, et nous avons souvent fait l'amour, chaque fois que nous rentrions du magasin. J'ai ainsi pu me perfectionner dans l'art de donner et de recevoir du plaisir entre femmes. Nous utilisions parfois toutes sortes de gadgets appropriés, des godes, des ceintures qui me permettait de la "baiser" comme si j'avais été un homme...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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  • Les coquineries de Karine, bisexuelle
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