Images aléatoires

krinxxx

Vendredi 16 mars 5 16 /03 /Mars 07:52
    Suite à la proposition de Mademoiselle Yes d'écrire une histoire à plusieurs, voici une expérience que j'avais faite à l'époque de mon site (les blogs n'existaient pas encore) avec un certain Didier. Nous avions décidé d'échanger des emails en nous racontant une histoire que chacun complétait à sa façon. Voilà ce que cela a donné :

    Moi :

    Salut Didier !

    Avant tout, excuse-moi d'avoir tardé à te répondre, mais j'ai pris quelques jours de vacances à la montagne...
    Je voulais te dire que je trouve ton idée intéressante : nous allons écrire ensemble une belle et chaude histoire... mais s'il te plaît, essaie de faire attention à l'orthographe ! (Un conseil en passant : écris d'abord ton texte dans word, et utilise la correction automatique : F7) Je compte en effet, une fois notre histoire complète, la mettre sur mon site, sous forme de duo. En attendant, j'ai corrigé ton premier e-mail que je reprends ci-dessous.

    Didier :

    Par un bel après-midi d'été, je t'invite à venir avec moi faire une balade à cheval. Tous les deux, nous sommes partis pour une longue balade en forêt. Après quelques heures, nous faisons une pause dans une clairière à peine éclairée par le soleil qui nous avait gentiment caressés tout l'après-midi. Je me suis approché de toi, tout en passant une main dans ton dos, à peine, en t'effleurant la peau. Quelques frissons te font sursauter, ce qui me donne l'envie de t'enlacer tendrement. Ma bouche effleure tes lèvres si douces et sucrées, et mon désir monte très vite. Ta main sur ma cuisse remonte doucement vers mon sexe déjà gonflé de désir. Ma bouche t'embrasse dans le cou, puis descend doucement vers les pointes de tes seins qui pointent légèrement sous ton tee-shirt. Pris d'excitation, je te fais basculer dans l'herbe, pour me positionner au-dessus de toi. Mes mains te déshabillent de la tête aux pieds tandis que mes lèvres parcourent ton corps si brûlant de désir. Je m'attarde sur ton pubis pour mieux lécher avec tendresse ton bouton de rose que je fais gonfler petit à petit. Après quelques instants, je sens ta main sur mon sexe très gonflé d'envie de toi. Ta main fait sortir mon sexe et tu me fais quelques va-et-vient d'une sensualité exquise. Très doucement, je me suis retourné sur moi-même pour te rendre la pareille...

    Moi :

    Voilà pour la première partie. Très prometteuse ! Je dois t'avouer que je suis très excitée de poursuivre cette aventure qui commence si bien... Alors, voici la suite, à ma façon :

    Ces préliminaires m'ont complètement retourné la tête. Ta queue est si dure, si chaude entre mes doigts... Je la sens vibrer sous mes caresses. Sans cesser de te branler, je te sens te retourner et prendre possession de mon sexe. Ta main se pose timidement sur mon pubis, caresse doucement la fine toison (soigneusement épilée) qui le surplombe, et descend insensiblement vers ma grotte intime. Tes doigts s'attardent sur mon bouton d'amour qui gonfle sous ce contact si doux. Puis tu écartes doucement les lèvre de ma vulve, avant d'y introduire discrètement le bout de ton index. Tu sens immédiatement à quel point je suis excitée. Je mouille comme une folle ! Je te branle toujours, de plus en plus fort, et, n'y tenant plus, j'approche ta bite si dure, si grosse, de ma bouche.
    Comme si elle était indépendante de moi, ma langue jaillit pour aller au contact de ton gland gonflé, vibrant. Dans le même temps, ne voulant sans doute pas être en reste, ta bouche prend possession de ma chatte, tu poses la langue entre mes lèvres trempées et la fais aller et venir à l'orée de mon sexe ruisselant de plaisir. Soudain, je gobe ta queue qui m'emplit entièrement la gorge, et commence à te pomper avec amour. Mes mains te prennent les couilles qu'elles massent doucement, augmentant sensiblement ton excitation. Tu bandes si fort que je manque de m'étouffer.
    Pendant ce temps, tu n'a pas cessé de me lécher. Tu aspires mon clitoris entre tes lèvres, le titilles avec la pointe de tan langue, avant d'enfoncer celle-ci entre mes lèvres, comme pour me pénétrer au plus profond. Ooooh ! Comme c'est bon ! Comme si elles étaient indépendante de mon corps, mes hanches se soulèvent pour aller à la rencontre de ta bouche, comme pour faciliter la pénétration de ta langue au plus profond de moi....

    Et si tu me racontais la suite ? Il faut que j'arrête pour l'instant, je suis trop excitée d'avoir écrit pour toi ces quelque lignes, il faut que je me fasse jouir, en pensant à toi, bien sûr. J'attends ton prochain mail avec impatience...

    Didier :

    Ma langue n'en finit plus de faire des va-et-vient au coeur de ta chair, ton corps frétille de volupté. Moi aussi, je suis près de jouir tant le plaisir que tu me donnes est grand.
    Délicatement, je passe ma langue sur ton petit trou ; je le sens s'ouvrir comme une rose un matin de printemps. Ton corps tout entier réclame autre chose que mes caresses, alors je te fais rouler dans l'herbe et me positionne à la missionnaire pour un début tout en douceur. Mon gland vient au contact de tes lèvres, je m'introduis en douceur vers ton intimité et, par quelques va-et-vient, je te fais sursauter de plaisir. Ton excitation me donne envie d'aller plus loin pour te donner encore plus de plaisir.
    Etant au bord de l'éjaculation, je me retire pour me détendre un peu et je me remets à te lécher les lèvres ainsi que ton petit trou qui s'ouvre de plus en plus. Mon excitation est à son apogée, je me sens transporté avec toi vers un monde magique d'où je ne voudrais plus partir, tellement je suis aux anges avec toi. Mes mains parcourent ton corps, tu fermes les yeux et je te sens jouir pour la seconde fois (mon plus grand plaisir).
    Tu me demande de te prendre, plus farouchement, ce que je fais sans aucune retenue. Le va-et-vient que je fais te donne des frissons, tes petits cris de plaisir me rendent plus fort et je ne cesse de rentrer jusqu'au plus profond de toi. Tu es si chaude que mon sexe ne veux plus partir de toi.

    Je te laisse conter la suite de notre aventure. En espérant que tu as aimé la suite comme moi, mon excitation m'oblige à passer par une masturbation.
    Pour le prochain mail, décris-toi pour me donner encore plus envie de toi. Pour ma part, je suis châtain clair, yeux marrons, 1m90 assez sportif

    Moi :

    Rassure-toi, tout est réparé et nous allons pouvoir reprendre notre aventure...

    Je n'en peux plus... Tu m'as déjà fait jouir deux fois, et tu résiste toujours. Ta queue me remplit le ventre, je veux te sentir gicler en moi, mais tu semble décidé à retarder le plus possible ce moment.
    Déchaînée, excitée comme une folle, à quatre pattes, les coudes appuyés dans l'herbe, je tends mon cul vers toi. Tu me donnes des coups de plus en plus fort. Je n’arrête pas de gémir comme une folle. Tu me défonces. Tu n’arrêtes pas de me pénétrer sauvagement avec rythme. Ton pénis glisse à l’intérieur de moi facilement, je suis tellement humide. Tu sens mon jus autour de ta verge glisser sur tes testicules et sur tes cuisses. Quand je te sens au plus profond de mon vagin, je mets plus de pression pour que tu y restes un peu plus longtemps. Tu me tiens par les cuisses et tu me fourres avec une telle rage. Je sens que tu es enfin sur le point de venir. Tes coups deviennent désordonnés, ton souffle s'accélère bizarrement... Alors je t'encourage :
    - Viens ! Viens, maintenant !
    Et soudain ça y est : tu t'immobilise au fond de mon ventre en criant :
    - Aaah ! Oui ! Je jouis ! Tiens !!!!!
    Tu exploses littéralement en moi. Ton foutre chaud gicle au fond de mon vagin. Tu te retire rapidement de moi et finit d'éjaculer sur mon dos. Je me retourne pour prendre ta tige dans ma bouche et j'avale ton sperme avec délice tout en me branlant furieusement le bouton, et je jouis à mon tour, pour la troisième fois, avec ta queue au fond de ma gorge.
    Nous restons enlacés sur l'herbe à nous embrasser tendrement. Je sais que cela n'est pas fini, et que tu vas rapidement récupérer... D'ailleurs, ta queue reprend déjà du volume sous mes doigts...

    Je vais t'avouer une chose : tout en écrivant, j'ai imaginé la scène, et j'ai joui comme une folle. Je me suis encore une fois masturbée en t'écrivant ces lignes ! Quel plaisir pervers ! Continue cette histoire, s'il te plaît, et donne moi encore du bonheur...

   
Hélas, cette correspondance s'est arrêtée là... Dommage non ? Je vous embrasse tous et j'attends vos commentaire ;)
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Samedi 10 mars 6 10 /03 /Mars 14:26
      L'histoire qui suit n'est pas une histoire vécue : il s'agit d'un fantasme né d'un rêve que j'ai fait il y a quelques années, qui m'a tant troublée que c'est devenu un véritable obsession. Je vous la livre telle que mes souvenirs me la racontent souvent les jours où, seule, je la revis en me masturbant et qui, chaque fois me donne un orgasme incomparable :

      Tout débute dans une ville sombre. Je parcours les rues sous une pluie battante qui colle mes cheveux sur mon visage et mes vêtements sur mon corps, dessinant par transparence mes seins dont les pointes sont durcies par le froid. Je suis à la recherche d'un endroit où m'abriter et trouve enfin un bar ouvert dans lequel je m'engouffre.

      Au fond de la salle, un jeune homme me fixe du regard. Irrésistiblement, je m'approche de lui. Il me saisit le bras. Je suis fascinée. Il a à peine vingt ans, son regard est perçant. Il m'entraîne vers des ruelles pavées jusqu'à un hôtel glauque. Nous entrons et nous nous dirigeons vers le fond du couloir où il ouvre une porte et me pousse dans une chambre. Un lit de fer trône dans cette pièce dépouillée. Il me jette sur le matelas, arrache mes vêtements et attache mes poignets et mes chevilles aux barreaux après m'avoir largement écarté les bras et les cuisses. Puis il me bâillonne. D'une armoire, il sort un fouet avec lequel il me bat violemment et m'injuriant :
- Tiens, salope ! Traînée ! Tu as ce que tu mérites !

      Puis il se déshabille. Son sexe est dressé, énorme. Il grimpe sur moi et me pénètre brusquement. Je sens à peine sa queue me remplir dans mon con noyé par la mouillure. Il ne tarde pas à éjaculer sans se soucier de me faire jouir, et je sens couler son jus épais et chaud le long de mes cuisses ouvertes. Puis il quitte la chambre en me laissant attachée...

      Plus tard, une femme sans âge entre. Elle renifle ma chatte, y introduit un doigt, puis deux, puis la main entière. Sa langue titille mon clitoris, elle me lèche avec application, s'insinuant dans mon vagin et mon anus. Une vague de contractions m'emporte. Je jouis rapidement...

      Les jours passent. On me nourrit chichement. Régulièrement, des hommes viennent, me violent à leur gré et repartent sans que je ne dise mot. Chaque fois, ils m'abandonnent avant que j'atteigne l'orgasme. On m'interdit de jouir, et pourtant, j'espére chaque fois que cela vienne. En vain. J'en suis parvenue au point d'espérer mon prochain violeur avant que celui qui me baise encore n'ait fini. J'ai l'impression d'être remplie de leur sperme qui me dégouline de la chatte...

      Un homme âgé vient. Sans se dévêtir, il caresse mon corps offert, s'attardant sur mes seins, les soupesant délicatement, pinçant les pointes qui ne tardent pas à durcir. Puis il me léche avec application, me masse le clitoris, s'interrompt pour ramener de la glaire sur ce dernier, enfonçant sa langue au plus profond. Je soupire et, enfin, il baisse son pantalon. Il promene son gland gonflé entre les lèvres de mon sexe avant de s'y enfoncer. Je sens mon corps vibrer. Un roulis de spasme déferle, annonciateur de l'orgasme tant espéré. Mais l'homme se contracte brusquement avant de décharger sur mon ventre, puis s'écroule sur moi, terrassé par une crise cardiaque. Je me mets à hurler de terreur et quelques minutes plus tard, deux hommes viennent me débarrasser du cadavre...

      Bientôt, les visites s'accélèrent. Des sexes à peine palpés éjaculent dans tous mes orifices. On me baise, on m'encule, on me forçe à sucer des bites de toutes tailles. Les relents de sueur, de foutre, de baise écoeureraient la dernière des putains. Moi, je me suis habituée à cet atmosphère et me gorge de ces liqueurs organiques. Je suis devenue un objet de plaisir, une poupée inanimée offerte au plaisir de qui le veut...

      Mon dernier client porte un masque cachant son visage, ne laissant échapper que sa barbe fournie et des cheveux frisés. Son corps nu est recouvert d'une toison abondante couvrant le torse, les épaules, le dos et les jambes. Après m'avoir longuement caressée, il s'enfonçe en moi et me lime longuement. Puis il sort sa queue de mon sexe, se masturbe doucement et éjacule sur mon corps. Il me macule avec le foutre, l'étale sur mes seins, mon ventre. De nouveau, l'excitation monte de mes entrailles. Est-ce enfin le moment ? Vais-je enfin jouir ? Il se saisit d'un couteau, tranche les liens qui maintiennent mes poignets et me tend l'arme, désignant son sexe. Ne comprenant pas ce qu'il veut, je le fixe d'un regard interrogateur. Il arrache alors le masque, dévoilant un visage entièrement détruit par le feu. Comprenant son malheur, j'attrape le sexe par la base, juste sous les testicules. Il se met à bander de nouveau devant la menace. Sa queue est devenue raide comme une barre de fer et je la tranche d'un coup. Il s'effondre sur le sol en d'horribles convulsions, râle et s'immobilise enfin. Je m'enfonce alors son sexe encore dur au fond de la chatte, comme s'il s'agissait d'un gode. Et enfin, je jouis. L'orgasme tant attendu m'emporte comme un ouragan, explosant du plus profond de mes entrailles pour emporter tout mon corps. Prise de convulsions, je hurle en tremblant de tous mes membres. Au plus fort de la jouissance, je dresse au dessus de moi le couteau de mon dernier amant et le plante au milieu de ma poitrine...
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
Ecrire un commentaire - Voir les 8 commentaires
Mercredi 28 février 3 28 /02 /Fév 14:32
    Voilà un mois que J'ai ouvert ce blog. Un mois que je partage avec vous mes souvenirs d'hier, mes émotions d'aujourd'hui, et je tenais à vous remercier...
    D'abord de me rendre visite, ensuite de me laisser vos commentaires. Je les adore car ils me permettent d'aller voir ce que vous faîtes de votre côté et d'intégrer ainsi un "cercle" d'amis... Car j'espère être devenue votre amie.
    Je compte donc continuer ainsi longtemps encore, aussi longtemps que j'aurais de belles choses à vous raconter, à vous montrer, à vous faire partager...
    Merci encore. Je vous aime.
    Votre Karine Kokine.
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 24 février 6 24 /02 /Fév 07:43
    Samedi soir, nous étions sept filles à la maison. Après un repas léger préparé par Amandine, nous avons commencé les réjouissances...
    Parmi mous, il y avait une jeune fille, Valérie, qui nous rejoignait pour la première fois. Nous nous sommes mises d'accord pour lui donner le plus de plaisir possible...
    Rapidement, nous nous sommes retrouvées nues, exeptées certaines qui avaient tenu à garder des dessous...
    Valérie, assaillie par la meute, s'est couchée sur la moquette épaisse du salon. Nous nous sommes succédées entre les cuisses pour lui donner du plaisir. Elle gémissait, feulait en se dandinant sur la moquette, se pétrissant les seins des deux mains...
    On lui a sucé les tétons à tour de rôle, Fabienne s'occupait d'un mamelon, moi de l'autre, pendant qu'Isabelle activait sa langue sur sa chatte. Deux autres filles, agenouillées de chaque côté de ses cuisses écartées lui caressaient les fesses. Valérie n'a pas tardé à jouir sous nos coups de langue et nos caresses, alors qu'on lui relevait bien haut les cuisses afin de dégager sa fente...
    Fabienne, qui lui caressait tendrement les fesses, lui posat alors cette question :   
    - Tu t'es déjà fait défoncer la rondelle ?
    - Ma petite amie adore me défoncer avec des godes !
    Du coup, Fabienne est allée en chercher un énorme, un gode double, puis le lui introduisit lentement, poussant l'autre extrémité entre ses propres lèvres déjà bien trempées. Valérie s'est mise à hurler, mais les autres filles, moi la première, l'avons rassurée.
    - Ne t'inquiète pas, ça va rentre sans problème, Karine s'en enfile de bien plus épais...
    Nous lui avons donc bien préparé le trou en nous servant de sa propre cyprine, et l'engodage a commencé. Valérie poussait de petits cris. Une des filles s'occupait à lui branler la chatte afin de faire passer la douleur. Fabienne a réussi à la pénétrer de dix bons centimètres, puis s'est arrêtée et lui a dit :
- On va te laisser un peu comme ça pour que tu t'habitues à la présence de ce machin dans ton petit cul...
    Nous la maintenions immobile tout en l'embrassant, la caressant. Valérie se déchaînait sur son clitoris tandis que je la léchais avidement. Elle mouillait comme une folle ! Les cris se faisaiient moins plaintifs, se transformant en gémissements de plaisir.
-Bon, on peut enfoncer le reste ! dit Fabienne.
    A la fin, il ne restait hors de son cul que les couilles en plastique. Amandine et moi nous nous embrassions mutuellement en admirant les spectacle. Je sentais les doigts de ma cochonne prérée fouillée ma chatte inondée tandis que ne langues s'entremèlent...
    L'engodage de Valérie nous avait toutes excitées à la folie. Tout autour de nous, ça se léchait, ça se suçait, les vibromasseurs marchaient plein pot... C'était follement jouissif d'entendre tous ces gémissements... je ne tardais pas à jouir avec Amandine qui dégoulinait de plaisir. Une autre fille, Chantal, s'est jointe à nous et nous l'avons fait jouir à son tour à l'aide d'un double gode je je m'enfonçais dans la chatte, l'autre extrémité étant enfouis dans la sienne sous le commandement d'Amandine qui nous léchait tour à tour...
    Cette folie sexuelle a duré jusqu'à presque l'aube. Toutes les filles étaient épuisées. Mais Valérie, enlacée dans les bras de Fabienne qui se l'était décidément appropriée, nous a avoué qu'elle ne regrettait pas du tout cette première partie...
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 17 février 6 17 /02 /Fév 19:50
Au boulot, je partage mon bureau avec Sophie, jeune brunette de 25 ans, mignonne comme un cœur, à qui, comme on dit, on donnerait le Bon Dieu sans confession. Elle vit avec un certain Pascal que je n’ai jamais rencontré, mais qu’il me tarde à connaître, tellement Sophie m’en dit du bien. Elle a l’air très heureuse.
    Jeudi soir, je les ai invités, mon compagnon étant en stage à Paris... C’est ce soir-là que j’ai connu Pascal... le fameux Pascal. Il faut reconnaître que c’est un beau gars: grand, cheveux courts, jovial, sympa, semblant bien vivre et aimer bien vivre. Avec Sophie, ils semblaient très amoureux... Ils s’embrassaient souvent, et ne se gênaient pas pour avoir des petits gestes osés malgré ma présence... Cela ne semblait pas du tout les déranger.
    Alors que nous prenions l’apéritif, je dus aller m’occuper à la cuisine... Sophie se proposa de venir m’aider. Devant la table, elle découpait des rondelles de saucisson. Pascal survint et manifesta une attention gourmande sur ce que Sophie était entrain de faire. Et, à mon grand étonnement, il se mit derrière elle et lui caressa gentiment les fesses à travers sa petite robe...
- Pascal, tu exagères!...
Et de rajouter:
- T’inquiète pas, me dit Sophie,... il est nature... moi aussi... et puis ça prouve qu’il tient à moi non ?... Ça ne te dérange pas au moins ?
- Pas du tout!... De mon côté, ma présence ne vous dérange pas ?
- Absolument pas... je dirais même que ...
    Un je ne sais quoi de curieux resta gravé dans mon oreille... Avais-je bien entendu ? Bon... on verra bien...
Ils m’aidèrent à allumer le feu dans la cheminée. Et bientôt régna dans le salon une douce chaleur qui incitait à la tranquillité, au repos... Dehors, aucun bruit, rien... la paix... le calme...
    Après le repas, nous étions vautrés dans des coussins, sur le tapis...devant le foyer. Pascal avait mis de la musique, et s’était littéralement laissé tomber dans un grand pouf, souriant, content de vivre et du repas qu’il venait de faire.
- Sophie! Mon amour! viens à côté de moi, tu veux bien ?
    En riant, elle répondit à la sollicitation et se laissa, elle aussi, tomber sur le pouf, avec lui... En tombant, elle l’embrassa fougueusement en ronronnant, comme s’ils étaient seuls...Sa robe avait dévoilé son petit cul, qu’une main mâle vint de suite caresser... C’était fait simplement, gentiment... mais j’étais un peu gênée... Je trouvais un prétexte... comme pour m’excuser...
- Excusez-moi, je dois aller aux toilettes, annonçais-je en me levant.
    Ils ne répondirent pas et continuèrent à ronronner en flirtant simplement...
    Je sortis de la pièce vers les toilettes au fond du couloir. Cette petite démonstration intime m’avait quelque peu troublée et je m’aperçu que ma culotte était mouillée... Dans les toilettes, je prenais mon temps, car mon petit diable d’ange maléfique me recommandait bien de ne pas revenir trop tôt dans le salon... de les laisser continuer... Mais je ne pouvais pas rester là, enfermée toute la soirée...
    Je sortis des toilettes sans faire de bruit et m’approchais de la porte du salon qui était restée entrouverte... Ils étaient là, toujours sur le pouf... Mais, oh surprise... Pascal avait son pantalon ouvert, dégrafé, son énorme sexe à l’air libre, et Sophie, qui le tenait bien en main, le suçait tout doucement du bout des lèvres, du bout du gland... en s’appliquant. Elle avait une jambe pliée, relevée, et je voyais les doigts de Pascal s’affairer dans le petit slip. Je ne savais que faire... Je me contentais de les regarder...
    Sophie avait les lèvres très mouillées. Pascal, la tête en arrière, ronronnait en riant. Je voyais cet énorme sexe s’enfoncer dans la petite bouche de ma collègue. Ses joues en étaient déformées. Ce spectacle me donnait le vertige. Ma respiration devenait haletante. Je craignais d’être découverte. Mais après tout, j’étais chez moi. C’était fort, très fort, et instinctivement je portais la main sur mon pubis, appuyant fortement comme je le faisais dans mes moments d’intimité solitaire...
    Sophie leva ses yeux vers la porte et m’aperçut... Elle éclata de rire...
- Oh la voyeuse!... t’as pas honte ? Mais entre donc!...Et viens avec nous... ce sera plus sympa.
    En tout cas, elle n’avait pas honte, car, tout en me parlant, elle continuait doucement de masturber Pascal qui me regardait en souriant, visiblement satisfait de la situation... Je me suis avancée dans la pièce, les yeux rivés sur ce sexe tendu... Sophie interrompit sa masturbation.
- Viens... mets-toi là...
    Et elle se poussa...
    Pascal se redressa un peu, pour s’asseoir plus confortablement. Son sexe, bien droit et bien gonflé lui collait au ventre... Oh quand j’y pense! Ce truc qu’il avait! ... Sophie intercepta mon regard... accroché... hypnotisé...
- Il est beau, hein, mon mec! ...Regarde ce truc... Si tu savais comme il me fait jouir...
Et elle se mouilla copieusement les doigts, le prit dans la main, comme pour m’en faire la démonstration... Tout en regardant Pascal, comme pour voir l’effet produit, elle le branla consciencieusement, doucement, mais avec amplitude...
    Sans cesser, elle s’adressa à moi...
- Approche-toi, n’aie pas peur...
Ils échangèrent un regard complice...
-... tu en as envie... viens... viens le sucer... allez... approche...
    Et elle même se réinstalla confortablement tout contre Pascal, la main sur la tige de chair bien mouillée qu’elle m’offrait...
    Je n’hésitais plus longtemps. J’approchais, me mis à genoux à côté de Pascal... mes mains toujours sur mon bas ventre... Pascal posa sa main sur ma nuque, et me caressa les cheveux... Sophie me regardait et attendait... Je regardais ce sexe bien droit... Le gland était violet, comme prêt à exploser... Je me penchais, et doucement posais mes lèvres dessus...
    - Voilà!...C’est bien... tu vois, c’est simple!... Il suffit de commencer à le faire. Après, le reste vient tout seul...
    J’entrouvrit les lèvres, et la tige rentra doucement dans ma bouche... Je le sentis vibrer... Pascal me caressait toujours la nuque, mais sans appuyer; sans me forcer... Sophie s’était aussi rapprochée et léchait la tige de chair, tout contre ma bouche...
      - Ouah! trouva-t-elle le temps de lancer... C’est génial... Tu vas voir...
    Nos lèvres toutes proches courraient le long de ce pieu vivant, vibrant...Et tout naturellement, arrivées au bout, elles se rejoignirent dans un baiser doux, mais d’une douceur... c’était aussi doux que la peau du sexe de Pascal... Sophie m’envahit la bouche de sa langue... j’avais le gland de Pascal contre ma joue. Nos lèvres se mouillaient mutuellement dans ce baiser très humide. Tournant la tête légèrement, c’est Sophie qui, tout en m’embrassant, accueillit entre ses lèvres ce doux sexe...plein de vie...
    Puis ce fut encore à mon tour de me remplir la bouche, puis Sophie...Pascal nous tenait la tête, et grognait de plaisir... C’était purement et simplement délicieux... Mes mains sur mon pubis appuyaient très fort et j’eus un flash, l’impression que mon sexe tressautait, l’onde se répercutant sur les jambes, et le ventre... Un gémissement me trahit.. Je venais simplement de jouir... et c’était délicieux....
- Ouais... vas-y ma puce... lâches toi... vas- y : n’aie pas honte...
Je reprenais mes esprits... Sophie semblait plutôt satisfaite de la situation. Comme je la regardais, la contemplant prodiguer à Pascal cette caresse buccale tant convoitée, elle s’interrompit soudain, se leva, fit sauter sa robe, son soutien gorge et laissa son string tomber à ses pieds...
- Allez.. Maintenant on passe aux choses sérieuses, lança-t-elle en riant...
    Pascal tendit la main, comme pour la prendre, mais elle l’écarta, et d’autorité, l’enjamba, en lui tournant le dos, me faisant face. Elle ajusta le sexe de son compagnon entre ses lèvres brillantes d'humidité... Je ne vis rien de précis... mais le gémissement de plaisir, yeux fermés, qu’elle lança en s’abaissant me fit clairement comprendre qu’elle venait de s’empaler sur ce pieu... avec un plaisir certain... Elle me sourit, apparemment satisfaite de son effet sur moi, me remerciant presque de la regarder. Elle prit appui sur ses bras, derrière elle. Pascal bougeait, faisait coulisser sa tige dans l’intimité plus du tout intime de Sophie...
    Ses cuisses largement ouvertes m’offraient le spectacle de sa chatte investie par un sexe impressionnant qui y disparaissait presque en entier... Sophie remuait le bas ventre, le sexe ressortait puis re-rentrait, sans cesse, régulièrement, au rythme de leur respiration devenue très vite haletante... Et pendant qu’elle s’agitait ainsi, elle me regardait, semblant trouver un réel plaisir à se montrer ainsi, en train de prendre son pied... Et moi, je ne pouvais plus résister... Je me suis approchée et j'ai posé mes lèvres sur cette partie de sexe encore visible, titillant en même temps le calice de plaisir de Sophie qui sembla bien apprécier cette nouvelle caresse...
-Oh ...oui... Suce-moi... oh... c’est bon... Oooooh !!!
    Elle devint une furie... me supplia de continuer de la lécher ainsi... Ma langue avait du mal à se fixer, tellement elle bougeait... Ses soupirs devinrent presque des cris... Ma langue passait de son sexe aux testicules de son ami...
    Sophie avait fermé les yeux. Elle semblait se concentrer sur ce qu’elle faisait... Elle s’allongea, de dos, sur Pascal, rendant son exhibition encore plus intense, plus vivante... Sa chatte juteuse était copieusement investie par la queue de Pascal... Leurs visages s’étant rapprochés, ils s’embrassaient, sur le côté.. Et moi, j’étais entre leurs jambes, à les lécher, tout en me masturbant comme une folle... Je profitais de leur petit instant d’intimité pour me lever et quitter rapidement ma culotte... J’en voulais, et je ne savais pas comment ça allait tourner... Je choisis de laisser les choses se faire...
    Me voyant debout, Sophie se redressa, se dégagea de Pascal et se leva à son tour... Elle s’approcha de moi, passa une main derrière ma nuque. Je fermais les yeux... Et avec une douceur extrême, elle me donna un baiser doux... mais doux... C’était trop... Elle releva ma robe, caressa mon entrecuisse inondé de plaisir... j’ouvris une jambe pour faciliter le passage de ses mains, de ses doigts... Entrouvrant les yeux, je vis Pascal qui s’était assis, nous regardait et se masturbait...
    Elle me chuchota tendrement à l’oreille :
- Dis ma belle, tu ne vas pas en rester là ? Allez, viens en profiter...
    Je n’attendais que cela... J’approchais de Pascal, qui m’accueillit en me tendant la main... je l’enjambais... Sophie s’était mise derrière moi, et c’est elle qui ajusta le pieux de chair qui se fraya un passage très humide dans les profondeurs de mon corps en feu... Pascal commença son doux ramonage, ample, profond... Ma tête n’était plus là... Il m’attira sur lui, nous nous sommes allongés et il m’embrassa avec beaucoup de tendresse... J’étais consciente du spectacle que j’offrais à Sophie... derrière moi... qui me caressait l’anus... Mais c’était égal... J’eus un flash... puis un autre... Je perdis la notion du temps, du lieu... Je n’étais devenu que plaisir... et, tout comme Pascal, j’arrivais à un orgasme intense, violent... qui dura longtemps... se reproduisît plusieurs fois, comme un feu d’artifice... Je sentis Pascal vibrer, grogner ... tenter de résister... et tout me lâcher au plus profond de moi-même... Je sentais son sperme gicler au fond de moi, me remplir... Mon vagin, comme tétanisé, vibrait tout seul, involontairement, en de violents spasmes... c’était presque devenu insupportable...
Et je m’écroulais sur lui... à perdre connaissance...
    Notre soirée se poursuivit tard dans la nuit. Nous avons encore joui chacun plusieurs fois, ensemble.
    Voilà... Ce fut une soirée fantastique... et qui se reproduira plusieurs fois, j'espère...
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 15 février 4 15 /02 /Fév 11:17
    A l'époque de ce récit, j'avais 19 ans. Mes parents étaient partis en voyage pour 3 mois et j'avais la maison à moi toute seule. J'étais avec ma meilleure amie Laurie et on parlait d'un gars nommé Frank. Il avait 21 ans, beau comme un cœur, les cheveux noirs, les yeux verts. Il était notre bon ami mais aussi une des personne qui avait le pouvoir de m'exciter en moins de cinq minutes. Laurie insistait pour que l'on parle de lui elle avait ce petit sourire moqueur sur le coin des lèvres comme si elle savait quelque chose que je ne savais pas. Tout à coup on sonna à la porte. J'allai ouvrir et Frank était sur le seuil de la porte. Je l'invitais à entrer. Il ne sembla pas très surpris de voir Laurie.
    -De quoi vous parliez les filles ? nous demanda-t-il le sourire au lèvres
    -Et bien pour être sincère, de toi, lui répondis-je.
    C'est alors que lui et Laurie se levèrent le sourire aux lèvres.
    Frank m'attrapa d'abord les mains et m'empêcha de bouger. Laurie quand à elle alla chercher de la corde et m'attacha. Il m'étendirent sur le lit. Je leur disais de me lâcher mais ils riaient. Frank se mit alors a embrasser Laurie à pleine bouche. Il passa sa main sur ses beaux seins appétissant et Laurie alla doucement caresser sa bite à travers son pantalon. Ensuite elle se retourna vers moi et se mit a m'embrasser de plus belle pendant que Frank retirait mon pantalon. Il retira ensuite mes culotte et enfouit sa langue dans ma chatte. Pendant ce temps Laurie avait fini de me déshabiller et me mordillait doucement les tétons. Elle vint s'asseoir sur mon visage et presque automatiquement je me mit a la manger. C'était bon, sa chatte dégoulinait de plaisir tout comme la mienne.
    Frank se déshabillât et doucement commença en me pénétrer de son énorme pieu.
    -Tu aimes ça salope tu en veux plus hein, me cria-t-il pendant que Laurie m'ordonnait de la lécher plus vite.
    J'eu vite un premier orgasme. Ensuite Laurie alla me manger pendant que je suçai la tendre queue de Frank, elle était grosse et douce et l'idée que je recevrais bientôt son doux sperme au fond de ma gorge m'excitait d'avantage. Laurie me pénétra d'un doigt puis d' un deuxième et d'un troisième. JE ne cessais de mouiller, je pouvaist sentir le liquide couler jusqu'entre mes fesses.
    Frank finit par venir et j'avalai son sperme chaud avec délice. Il me pris dans ses bras tandis que je pompais son dard qui ne tarda pas à reprendre une certaine raideur. Il me retourna alors pour me prendre en levrette. Pendant ce temps Laurie nous caressait tout deux, lui sur les couilles et moi sur les seins. Je sentais sa queue s'enfoncer en moi, j'hurlais de plaisir et lui dit d'aller plus fort. Il me traitait de salope et ça m'excitait. il jouit en même temps que moi et je sentais sa semence gicler au fond de moi. Hmmmm!!!!!! j'étais comblée. Ensuite j'allais caresser Laurie pendant qu'il la pénétrait avec un vibromasseur. Laurie ne tarda pas à jouir à son tour et nous nous effondrâmes sur le sol...
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 31 janvier 3 31 /01 /Jan 17:51
    Mon fils a 13 ans et travaille très fort à l'école. J'ai rencontré François, son prof de maths, le mois dernier. Il m'a dit être très impressioné par ses resultats scolaires, de loin supérieurs à ceux de ses camarades de classe. Il m'a assuré que mon fils avait un brillant avenir devant lui, à condition de lui fournir des attentions particulières. Comme je ne peux pas, même à l'aide d'une bourse d'excellence, me permettre de l'envoyer dans une institution privée, il m'a offert de lui donner des cours privés à domicile. J'ai hésité un peu avant d'accepter cette proposition, mais il a insisté très fort, me disant que ça lui ferait un grand plaisir d'aider Daniel dans sa réussite, au point où je n'ai pu refuser son offre. Voilà comment mon histoire a commencée.
    Le premier après-midi, j'étais seule. Je suis divorcée et je travaille à partir de ma maison. Mon fils venait d'arriver de l'école et il est allée dans sa chambre pour étudier. Cette journée en particulièr, j'avais passé une partie de la matinée à fouiner dans l'internet, dans les sites et forums pour adultes. J'avais eu aussi des conversations très chaudes et osées avec d'autres internautes. Je me suis même branlé le minou avec un gars qui savait parler aux femmes. Cet homme charmant m'avait fait mouiller comme une minette en chaleur. Il savait comment s'y prendre. Il m'avait fait passer près de l'orgasme plus d'une fois en me disant toutes sortes de cochonneries; hélas, je n'ai pas réussi à jouir avant que mon fils n'arrive en claquant la porte comme c'est son habitude. Merde! j'ai du me déconnecter en toute vitesse pour que mon fils ne me retrouve dans une position compromettante devant l'ordi. Inutile de dire qu'après toutes ces stimulations, j'avais une immense envie de baiser. Comme je n'avais pas d'homme pour me satisfaire, je me suis glissée sous la douche, pour essayer de calmer mes ardeurs.
    Dans la douche, c'est le contraire qui s'est produit. J'étais h-y-p-e-r-e-x-c-i-t-é-e !. Les images de baise n'arrêtaient pas de defiler dans ma tête. J'avais la peau d'une sensibilité extrème. Chaque goute du puissant jet d'eau était comme une caresse. J'ai orienté le jet sur mes seins, qui faisaient presque mal tellement ils étaient durs. Je n'ai pas pu retenir un gemissement lorsque j'ai placé le jet directement sur mon clito et les lèvres de ma chatte. Juste au moment où j'allais jouir, je me suis tournée et j'ai visé le jet d'eau sur mon petit cul, en continuant ma branlette avec mes doigts. J'ai plongé ma main presqu'au complet dans mon vagin, j'ai serré mes jambes très fort, j'ai laissé le jet d'eau faire son travail sur mon oeillet rosé et je me suis laissée aller par toutes ces sensations. Mon orgasme a été tellement puissant que j'ai failli perdre pied et me retrouver au fond de la baignoire, toute épuissée.
    Je suis sortie de la douche enroulée en une serviette comme je fais toujours. J'avais completement oublié la visite de François. Il était arrivé pendant que j'étais dans la douche pour donner ses premiers cours privés à Daniel et il était maintenant assis dans la salle à manger. J'étais un peu gênée par sa présence. Je l'ai salué en vitesse et je me suis engouffrée dans ma chambre. J'étais terriblement embarrassée, comme si ce bel homme avait pu deviner dans mon visage ce que j'étais en train de faire sous la douche. Il avait un sourire très coquin en tout cas! Peut-être ce qu'il a vu lui plaisait? Quand j'avais le dos tourné en marchant vers ma chambre, j'ai cru sentir ses yeux rivés sur mes jambes nues et le debut de mes fesses, à peine voilées par la serviette de bain. Pour la première fois, j'ai vu cet homme sous un autre oeil. Il était dans la trentaine, comme moi, et il faisait un metre quatre-vingt-dix aisément. Le dos carré et des épaules très larges; ses cheveux noirs tombaient en longues boucles, sans cacher un cou viril. Son visage n'était pas celui d'un homme beau, mais il avait une attirance certaine. Comment se fait-il que je ne l'avais pas encore remarqué?
    J'étais en train de penser à lui en m'habillant et je me suis rendue compte que j'avais envie de lui. Je me suis dit que surement il faisait mouiller toutes ses élèves et même certaines profs de son école. Je me suis rappellé de l'époque de mes 15 ans, quand j'étais amoureuse folle de mon prof de français. Je me demandais si François serait intéressé en moi, avec toutes ces femmes en chaleur autour de lui. Je me demandais si son sexe était grand ou petit, s'il ferait un bon amant, quel était le goût de son sperme et s'il aimaitrait me sodomiser. Bien que je venais de jouir sous la douche, je me suis sentie devenir toute moite entre les jambes. J'ai mis une jupe très courte, un mini slip qui cachait à peine mon sexe, une vieille chemise de mon ex, sans soutien-gorge, et j'ai quité ma chambre nu-pieds.
    Je me suis installée dans le salon et j'ai feint la lecture. Je l'écoutais parler de racines carrées et de théorèmes en le regardant discretement. Plus je le dévisageais, plus je souhaitais l'avoir dans mon lit, là, tout de suite. La leçon a duré encore une heure, il a dit a mon fils qu'ils avaient bien travaillé et qu'il serait de retour dans deux jours. Mon fils s'est alors adressé à moi et m'a demandé s'il pouvait aller voir sa petite amie qui habite dans la même rue que nous. J'ai accepté à condition qu'il ne revienne pas trop tard et j'ai saisi l'opportunité pour offrir un café à François. À mon plus grand plaisir, il a accepté de bon coeur et dix minutes après on était assis l'un devant l'autre dans le salon.
    Notre conversation avait mon fils comme sujet tout d'abord. Nous avons parlé de ses aptitudes pour les sciences et quoi encore. Je l'écoutais attentivement, comme envoûtée par ses paroles. Après un bon moment notre conversation est devenue plus personnelle. Il m'a parlé de sa vie de celibataire et moi de mon divorce. Inévitablement, le thème des relations, ou plutôt de l'absence de relations dans mon cas, est apparu. Il m'a dit qu'une femme aussi attirante que moi ne devait pas manquer d'opportunités. J'étais très flattée qu'il me trouve attirante, mais je lui ai dit que depuis ma séparation je n'avais pas été en compagnie d'un homme en chair en en os; avec mon fils et mes occupations, cela était devenu très difficile. Un peu honteuse, je lui ai avoué passer beaucoup de temps devant l'écran d'ordi et avoir plus de rélations virtuelles que réelles. Il a senti ma gêne, mais ses yeux sont devenus pétillants. Il m'a dit que je n'avais pas de raison de me sentir mal-à-l'aise et que, en troute franchise, il aimait aussi le sexe virtuel et que des fois il avait du mal à s'en passer, se connectant même à partir l'école des fois. Plus confiants maintenant, nous avons commencé à parler de nos expériences sur le net. Au point où nous avons parlé ouvertement de nos meilleurs moments, je lui ai raconté l'expérience que je venais d'avoir la journée même. Du coup, il m'a regardée tout drôle, comme s'il venait de réaliser quelque chose. Il m'a demandé quel était mon alias sur le net, et boum! le chat était sorti du sac! "C'est toi Cowgirl?" Il s'est exclamé. "Oui, tu me diras pas qu'on s'est déjà parlés?". La réponse est venue et m'a fait renverser: "Oui, pas plus tard qu'aujourd'hui. C'est moi Funguy!" Quoi! je ne croyais pas cela possible! Pourtant c'était bien vrai. C'était lui! J'avais devant moi le même homme qui m'avait si bien excité plus tôt dans la journée.
    Je me suis approchée de lui lentement, langoureusement. Sans réfléchir, je l'ai embrassé à pleine bouche. On n'avait plus besoin de parler. Ses mains sont venues se poser sur mes jolies petites fesses et il s'est mis à les caresser doucement. J'avais ma cuisse entre ses jambes et j'ai senti que je commençais à lui faire de l'effet. Une jolie bosse se formait déjà sous son pantalon. Je voulais sentir son doigt sur mon clito enflammé, ses mains sur mes seins et sur mes fesses; mais surtout, sa queue raide en moi, implantée au plus profond de mon con.
    Ses lèvres se promenaient sur mes joues, dans mon cou et sur mes oreilles. Il s'est mis à les mordiller, j'étais exhaltée. De ma main, j'ai cherché sa braguette, son membre était tout rigide. Je l'ai sorti de ses pantalons et je l'ai masturbé doucement. J'ai dirigé une de ses mains sur ma chatte. Je voulais sentir son doigt dans mon sexe mielleux.
    Il a fait pénétrer tout doucement un doigt dans ma fente mouillée et, avec son pouce, il pressait mon clito avec une infinie tendresse tout en le faisant tourner lentement. Nous nous sommes pelotés comme ça pendant de longues minutes. Il ne semblait pas pressé de me baiser. C'est même moi qui lui ai dit: " Prends-moi maintenant, tout de suite, sinon je vais éclater." Il s'est placé face à moi, debout. Ma jupe soulévée, j'ai mis de côté mon slip et, en écartant ma fente, j' y ai fait entrer son membre chaud. Ç'a été une véritable délectation. Ses mains se sont posées sur mes hanches et il s'est mis à bouger lentement, puis plus vite. À mon tour, je le chevauchais en suivant son rythme. Le plaisir m'envahissait de plus en plus. Je donnais des coups de hanches vers les côtés aussi. Je remouais ma croupe comme une goelette en mer. Il râlait doucement. Nos poils se rejoignaient et je le sentais bien au fond de moi. Sa bite était simplement délicieuse. Elle était assez grosse pour que son noeud cogne très fort au fond de moi et elle était d'une dureté exceptionnelle.
    Je me sentais en possession de sa queue. Il me pompait vigoureusement. La force de mon orgasme m'a surprise. J'ai gémi de bonheur et mon vagin a expédié une quantité abondante de jus. Tout mon corps était comme frappé par la foudre et les contractions involontaires de mon con l'ont poussé vers la jouissance. Il a joui à son tour en pousant un long soupir. Lorsqu'il a sorti sa queue de ma chatte, elle a fait un bruit de suction comme si elle ne voulait pas le laisser partir, et un torrent de liquide à l'odeur sucrée a coulé entre mes jambes.
    Daniel ne serait pas de retour avant une bonne heure. Je ne voulais pas arrêter là. Le sexe de François avait gardé une partie de son panache. Je me suis penchée pour lui donner un petit bec, puis un autre, et encore un autre. J'ai chatouillé son gland avec ma langue. Je frottais son gland sur ma langue lorsque je l'ai saisi d'une main et commencé un pompage endiablé. Ma bouche montait et descendait sur son membre. Il aimait bien ça quand je frottais son gland sur mes joues avant de le dévorer à nouveau. Il ne détestait pas ça non plus un truc que mon ex m'avait montré: j'enfonçais toute la longueur de sa queue dans ma bouche et j'enroulais ma langue autour de son membre. Quand je l'ai senti sur le bord de jouir, j'ai arrêté brusquement. Je lui ai dit en souriant malicieusement : " Non, non! Pas tout de suite!
    Je lui ai tourné le dos et j'ai lui fait signe de me caresser les mamelons. Tranquilement, j'ai passé le gland de son sexe bandé autour de ma chatte, ramassant sa mouille, puis je l'ai pointé sur mon cul. Il a compris tout de suite où je voulais en venir. Il m'a prise très doucement en faisant pénétrer son membre un centimetre à la fois. Mon cul s'est ouvert sans douleur grâce aux petits coups de reins qu'il donnait. Quand mes fesses se sont finalement posés sur ses jambes j'ai compris que je l'avait pris tout en moi. Nous sommes restés soudés comme ça pensant un bon moment puis il a commencé ses mouvements d'enculage.
    Il me soulevait et me redescendait en me tenant avec mains sur mes fesses. Je l'aidais en pliant les genous. Je donnais des coups de bassin pour bouger sur son pieu. Je le sentais au plus profond de moi. Il s'est mis à me triturer les seins. Ses doigts pinçaient mes mamelons et j'étais au ciel avec ses caresses pridigieuses. Même si je pensais cela impossible, j'ai senti sa queue prendre de l'ampleur. J'avais l'impression que son mât allait me défoncer les entrailles tellement je le sentais gros en moi. Rien au monde n'aurait pu me faire arrêter.
    Sans sortir de moi, il m'a fait mettre à quatre pattes sur la moquette et il m'a pénétrée par-derrière. Sa vigueur était impressionnante. J'ai écarté les fesses du mieux que je pouvais et je lui ai tendu mon cul pour mieux le recevoir. Ses mains ont malaxé encore mes seins. Je me suis éffondrée sur le plancher quand mon orgasme m'a atteint, mais il m'a saisi par les hanches et il a continué à me ramoner le cul solidement. Chaque coup de boutoir me procurait une délicieuse jouissance, chaque pénetration était un petit orgasme. Je me suis mise à crier de plaisir. Je ne savais pas combien de temps cela pouvait encore durer, jamais ma jouissance n'avait été si longue. Il a finalement grogné et j'ai senti son sperme gicler à l'intérieur de mon cul torturé. Cet arrossage copieux de foutre m'a procuré mon ultime jouissance. J'ai crié encore plus fort et j'ai senti mes dernières forces me quiter.
    Nous avons mis un moment pour reprendre notre souffle et ensuite nous avons nettoyé les traces de nos amours, sans parler un seul mot pendant ce temps. Quand Daniel est arrivé François était déjà parti. Il m'a téléphoné plus tard pour me dire que cette expérience avait été pour lui une des plus mémorables et qu'il souhaitait beaucoup d'autres, tant que j'en voudrais. Je suis allée me coucher cette nuit-là une femme comblée.
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
Ecrire un commentaire - Voir les 7 commentaires

Présentation

  • : Les coquineries de Karine, bisexuelle
  • Les coquineries de Karine, bisexuelle
  • : Divers
  • : Alors, petit coquin ou tendre coquine ? Tu es prêt(e) à vivre avec moi de torrides aventures ? Tu ne seras pas déçu(e) ! Ma vie sexuelle est si variée... Alors si tu es prêt(e), entre dans mon univers...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Catégories

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus